Gens de Ré au XVIIIe siècle. Marins d'une terre, terriens de la mer
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- Nombre de pages382
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.632 kg
- Dimensions15,8 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-84654-678-2
- EAN9782846546782
- Date de parution24/10/2024
- CollectionAquitaine
- ÉditeurIndes savantes (Les)
- PréfacierGuy Martinière
Résumé
Ré au XVIIIe ? siècle est d'abord partagée entre baronnie et seigneuries, puis passe sous obédience royale. Autour du quartier maritime de Saint-Martin, elle a pour mission officielle d'être la sentinelle des pertuis. Pourtant ses habitants, nombreux et laborieux, vivent surtout de la terre, grâce au vin et au sel. Mais négociants et marchands savent tirer parti de leurs petites embarcations et des courants commerciaux qui animent le port de La ? Rochelle.
Gens de mer, gens de terre ?? Un étonnant brassage... Les marins connaissent les affres de leur métier, fait de périls et de naufrages, mais de retour au foyer, ils bénéficient de l'invalidité, seul point qui les différencie des Rétais de la terre. Pour les laboureurs, les sauniers, voire les gens de la ville, la mer reste leur horloge ? : tantôt elle gronde et ravage le littoral, tantôt elle nourrit les hommes et leur sol.
Bienfaits parfois, contraintes souvent, c'est le sort de toutes les îles basses.
Gens de mer, gens de terre ?? Un étonnant brassage... Les marins connaissent les affres de leur métier, fait de périls et de naufrages, mais de retour au foyer, ils bénéficient de l'invalidité, seul point qui les différencie des Rétais de la terre. Pour les laboureurs, les sauniers, voire les gens de la ville, la mer reste leur horloge ? : tantôt elle gronde et ravage le littoral, tantôt elle nourrit les hommes et leur sol.
Bienfaits parfois, contraintes souvent, c'est le sort de toutes les îles basses.
Ré au XVIIIe ? siècle est d'abord partagée entre baronnie et seigneuries, puis passe sous obédience royale. Autour du quartier maritime de Saint-Martin, elle a pour mission officielle d'être la sentinelle des pertuis. Pourtant ses habitants, nombreux et laborieux, vivent surtout de la terre, grâce au vin et au sel. Mais négociants et marchands savent tirer parti de leurs petites embarcations et des courants commerciaux qui animent le port de La ? Rochelle.
Gens de mer, gens de terre ?? Un étonnant brassage... Les marins connaissent les affres de leur métier, fait de périls et de naufrages, mais de retour au foyer, ils bénéficient de l'invalidité, seul point qui les différencie des Rétais de la terre. Pour les laboureurs, les sauniers, voire les gens de la ville, la mer reste leur horloge ? : tantôt elle gronde et ravage le littoral, tantôt elle nourrit les hommes et leur sol.
Bienfaits parfois, contraintes souvent, c'est le sort de toutes les îles basses.
Gens de mer, gens de terre ?? Un étonnant brassage... Les marins connaissent les affres de leur métier, fait de périls et de naufrages, mais de retour au foyer, ils bénéficient de l'invalidité, seul point qui les différencie des Rétais de la terre. Pour les laboureurs, les sauniers, voire les gens de la ville, la mer reste leur horloge ? : tantôt elle gronde et ravage le littoral, tantôt elle nourrit les hommes et leur sol.
Bienfaits parfois, contraintes souvent, c'est le sort de toutes les îles basses.