L’appareil occidental
Grand Format
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Genève la nuit
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- PrésentationBroché
- Poids0.401 kg
- ISBN978-2-37916-554-2
- EAN9782379165542
- Date de parution10/02/2021
- ÉditeurMAIA
Résumé
Comment tout cela avait-il commencé ? Sa mémoire de vieil homme, car oui, on est un vieil homme quand on touche à la fin de la cinquantaine ; commençait à lui jouer des tours. Peut-être avait-il rêvé ? Peut-être que tout cela n'était qu'un rêve éveillé, une vision onirique comme une autre, comme il en avait connu dans sa jeunesse psychédélique, peuplée d'hallucinations collectives et de produits encore purs.
On était en octobre, et pour lui l'automne serait désormais la plus rude des saisons, la saison de l'Enfer. Lui qui aimait tant ce final flamboyant, cette mise à mort de l'été, il ne trouverait plus les feuilles qui tombent au sol dans cette si douce litanie aussi romantiques, ni les premières vestes que l'on sort des placards aussi chaudes, ni ce doux soleil mourant tellement magistral dans sa dernière lutte.
On était en octobre, et pour lui l'automne serait désormais la plus rude des saisons, la saison de l'Enfer. Lui qui aimait tant ce final flamboyant, cette mise à mort de l'été, il ne trouverait plus les feuilles qui tombent au sol dans cette si douce litanie aussi romantiques, ni les premières vestes que l'on sort des placards aussi chaudes, ni ce doux soleil mourant tellement magistral dans sa dernière lutte.
Comment tout cela avait-il commencé ? Sa mémoire de vieil homme, car oui, on est un vieil homme quand on touche à la fin de la cinquantaine ; commençait à lui jouer des tours. Peut-être avait-il rêvé ? Peut-être que tout cela n'était qu'un rêve éveillé, une vision onirique comme une autre, comme il en avait connu dans sa jeunesse psychédélique, peuplée d'hallucinations collectives et de produits encore purs.
On était en octobre, et pour lui l'automne serait désormais la plus rude des saisons, la saison de l'Enfer. Lui qui aimait tant ce final flamboyant, cette mise à mort de l'été, il ne trouverait plus les feuilles qui tombent au sol dans cette si douce litanie aussi romantiques, ni les premières vestes que l'on sort des placards aussi chaudes, ni ce doux soleil mourant tellement magistral dans sa dernière lutte.
On était en octobre, et pour lui l'automne serait désormais la plus rude des saisons, la saison de l'Enfer. Lui qui aimait tant ce final flamboyant, cette mise à mort de l'été, il ne trouverait plus les feuilles qui tombent au sol dans cette si douce litanie aussi romantiques, ni les premières vestes que l'on sort des placards aussi chaudes, ni ce doux soleil mourant tellement magistral dans sa dernière lutte.
