Genève. Quatre saisons
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- Nombre de pages160
- PrésentationRelié
- FormatGrand Format
- Poids0.92 kg
- Dimensions24,8 cm × 21,0 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-8321-1331-8
- EAN9782832113318
- Date de parution28/10/2024
- ÉditeurSlatkine (Editions)
Résumé
Voir Genève comme un photographe animalier. Sentir ses vibrations. Rester à l'affut sans se faire remarquer. Attendre l'instant depuis les positions les plus inattendues parfois. Capter enfin l'instant unique, vraiment unique qui fait que le modèle connu se révèle comme on ne l'avait jamais vu. Ce qui caractérise les photos de Stephan Torre, c'est cette notion du temps. Les saisons, bien sûr. Mais surtout la conjonction d'instants qui ne se renouvellent pas.
Disposition des ombres, voiles solaires et vapeurs brumeuses, personnages lointains composent ici un opéra en quatre actes d'une grande subtilité. Sous la plume d'André Klopmann, le photographe devient sujet. Références involontaires de sa quête patiente, viennent alors à sa rencontre au fil des saisons Edgar Poe, Mary Shelley, Paul Smith ou Mark Rothko.
Disposition des ombres, voiles solaires et vapeurs brumeuses, personnages lointains composent ici un opéra en quatre actes d'une grande subtilité. Sous la plume d'André Klopmann, le photographe devient sujet. Références involontaires de sa quête patiente, viennent alors à sa rencontre au fil des saisons Edgar Poe, Mary Shelley, Paul Smith ou Mark Rothko.
Voir Genève comme un photographe animalier. Sentir ses vibrations. Rester à l'affut sans se faire remarquer. Attendre l'instant depuis les positions les plus inattendues parfois. Capter enfin l'instant unique, vraiment unique qui fait que le modèle connu se révèle comme on ne l'avait jamais vu. Ce qui caractérise les photos de Stephan Torre, c'est cette notion du temps. Les saisons, bien sûr. Mais surtout la conjonction d'instants qui ne se renouvellent pas.
Disposition des ombres, voiles solaires et vapeurs brumeuses, personnages lointains composent ici un opéra en quatre actes d'une grande subtilité. Sous la plume d'André Klopmann, le photographe devient sujet. Références involontaires de sa quête patiente, viennent alors à sa rencontre au fil des saisons Edgar Poe, Mary Shelley, Paul Smith ou Mark Rothko.
Disposition des ombres, voiles solaires et vapeurs brumeuses, personnages lointains composent ici un opéra en quatre actes d'une grande subtilité. Sous la plume d'André Klopmann, le photographe devient sujet. Références involontaires de sa quête patiente, viennent alors à sa rencontre au fil des saisons Edgar Poe, Mary Shelley, Paul Smith ou Mark Rothko.