Gauguin à Tahiti
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- Nombre de pages18
- PrésentationCartonné
- FormatPoche
- Poids0.145 kg
- Dimensions12,6 cm × 17,8 cm × 0,9 cm
- ISBN2-07-030156-7
- EAN9782070301560
- Date de parution25/09/2003
- CollectionHors série Découvertes
- ÉditeurGallimard
Résumé
En avril 1891, Gauguin quitte la France pour Tahiti. Pour retrouver, dans cet ailleurs lointain, " ce malgré moi de sauvage " et ne " faire que de l'art simple, très simple ". Lorsqu'il y débarque le 9 juin, le dernier roi de l'île vient de mourir et l'ancienne religion polynésienne, évincée par le christianisme, n'est plus qu'un souvenir dans la mémoire des naturels. Fuyant le " snobisme colonial " de Papeete, il choisit Mataiea, plus au sud, s'imprègne de la luxuriante nature et du caractère des habitants, pour rendre le mystère du peuple maori. Vient l'heure du retour en métropole; durant deux années, il va tenter de faire reconnaître ses œuvres tahitiennes - en vain. En 1895, un nouveau départ s'impose, " pour toujours en Océanie sans l'éternelle lutte contre les Imbéciles ". Malgré sa détresse physique et morale, Gauguin va peindre ses compositions les plus édéniques, s'engageant plus avant encore dans l'exaltation des couleurs. Des œuvres qui invitent à une lecture symbolique et annoncent la grande toile de 1897, D'où venons-nous ? Que sommes-nous ? Où allons-nous ? Son testament pictural, avant un dernier exil, en 1901, aux Marquises.
En avril 1891, Gauguin quitte la France pour Tahiti. Pour retrouver, dans cet ailleurs lointain, " ce malgré moi de sauvage " et ne " faire que de l'art simple, très simple ". Lorsqu'il y débarque le 9 juin, le dernier roi de l'île vient de mourir et l'ancienne religion polynésienne, évincée par le christianisme, n'est plus qu'un souvenir dans la mémoire des naturels. Fuyant le " snobisme colonial " de Papeete, il choisit Mataiea, plus au sud, s'imprègne de la luxuriante nature et du caractère des habitants, pour rendre le mystère du peuple maori. Vient l'heure du retour en métropole; durant deux années, il va tenter de faire reconnaître ses œuvres tahitiennes - en vain. En 1895, un nouveau départ s'impose, " pour toujours en Océanie sans l'éternelle lutte contre les Imbéciles ". Malgré sa détresse physique et morale, Gauguin va peindre ses compositions les plus édéniques, s'engageant plus avant encore dans l'exaltation des couleurs. Des œuvres qui invitent à une lecture symbolique et annoncent la grande toile de 1897, D'où venons-nous ? Que sommes-nous ? Où allons-nous ? Son testament pictural, avant un dernier exil, en 1901, aux Marquises.