Gaston Bachelard ou la solitude inspirée
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- Nombre de pages166
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.225 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-911289-95-8
- EAN9782911289958
- Date de parution15/03/2007
- ÉditeurBerg International
Résumé
On a beaucoup glosé sur Gaston Bachelard, ce postier devenu professeur à la Sorbonne ; on a souvent évoqué son charisme pédagogique, ses tenues extravagantes. Il y a là un certain nombre d'images d'Epinal aisément disponibles pour la postérité. Pourtant l'œuvre elle-même mérite tout autre chose. On a rarement pris en compte les dimensions imaginaire et métaphysique, pourtant essentielles, de ses écrits. Cette dernière particularité se révèle notamment dans le rapport que Bachelard entretient aux autres philosophes, par exemple Schopenhauer et Bergson. De même, on a souvent négligé le lien fondamental du philosophe avec l'espace littéraire : son style hors du commun ainsi que son dialogue avec Fondane ou sa correspondance avec Louis Guillaume en sont les illustrations symptomatiques. Enfin, les thèmes du vertige et de la solitude, qui sont au centre de toute la méditation bachelardienne, méritent d'être mieux étudiés qu'ils ne l'ont été jusqu'à présent. L'auteur s'attache ici à combler ces quelques zones d'ombre.
On a beaucoup glosé sur Gaston Bachelard, ce postier devenu professeur à la Sorbonne ; on a souvent évoqué son charisme pédagogique, ses tenues extravagantes. Il y a là un certain nombre d'images d'Epinal aisément disponibles pour la postérité. Pourtant l'œuvre elle-même mérite tout autre chose. On a rarement pris en compte les dimensions imaginaire et métaphysique, pourtant essentielles, de ses écrits. Cette dernière particularité se révèle notamment dans le rapport que Bachelard entretient aux autres philosophes, par exemple Schopenhauer et Bergson. De même, on a souvent négligé le lien fondamental du philosophe avec l'espace littéraire : son style hors du commun ainsi que son dialogue avec Fondane ou sa correspondance avec Louis Guillaume en sont les illustrations symptomatiques. Enfin, les thèmes du vertige et de la solitude, qui sont au centre de toute la méditation bachelardienne, méritent d'être mieux étudiés qu'ils ne l'ont été jusqu'à présent. L'auteur s'attache ici à combler ces quelques zones d'ombre.