Gabriela Mistral publique et secrète. Biographie du premier prix Nobel latino - américain

Par : Volodia Teitelboim

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  • Nombre de pages343
  • PrésentationBroché
  • Poids0.395 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 2,3 cm
  • ISBN2-7475-5634-4
  • EAN9782747556347
  • Date de parution01/11/2003
  • CollectionHorizons Amériques Latines
  • ÉditeurL'Harmattan
  • TraducteurAgnès Sow

Résumé

Gabriela Mistral, née au Chili à la fin du siècle dernier, reçut le premier Prix Nobel décerné à l'Amérique latine en 1945. Ce fut une femme paradoxalement révoltée et tendre. Elle s'indignait violemment devant les injustices criantes qui existaient entre les riches de son pays, qui exploitaient dans leur corps et leur sensibilité, le pauvre et l'enfant. Volontaire, dure devant ces actes impardonnables, elle n'épargnait, ni dans sa prose ni dans ses vers, ceux qui faisaient régner l'injustice : propriétaires terriens, dictateurs, arrivistes.
Sa vie publique fut semée d'embûches. Sa droiture, son regard clair gênaient. Quant à sa vie secrète, elle dut la défendre également contre beaucoup de petitesses. Mais elle possédait en elle-même son propre royaume. Elle s'y réfugiait pour supporter la curiosité, la moquerie, l'incompréhension et, après le Nobel, la jalousie. Lorsque des angoisses l'étouffaient, elle écrivait à quelques amis sûrs et s'épanchait dans de splendides poèmes pour retrouver son équilibre.
Son désir de pureté absolue trop intransigeant, son honnêteté totale effrayaient parfois ceux qui l'aimaient ou auraient pu l'aimer. Volodia Teitelboim, qui fut son élève dépeint sa vie après de minutieuses recherches.
Gabriela Mistral, née au Chili à la fin du siècle dernier, reçut le premier Prix Nobel décerné à l'Amérique latine en 1945. Ce fut une femme paradoxalement révoltée et tendre. Elle s'indignait violemment devant les injustices criantes qui existaient entre les riches de son pays, qui exploitaient dans leur corps et leur sensibilité, le pauvre et l'enfant. Volontaire, dure devant ces actes impardonnables, elle n'épargnait, ni dans sa prose ni dans ses vers, ceux qui faisaient régner l'injustice : propriétaires terriens, dictateurs, arrivistes.
Sa vie publique fut semée d'embûches. Sa droiture, son regard clair gênaient. Quant à sa vie secrète, elle dut la défendre également contre beaucoup de petitesses. Mais elle possédait en elle-même son propre royaume. Elle s'y réfugiait pour supporter la curiosité, la moquerie, l'incompréhension et, après le Nobel, la jalousie. Lorsque des angoisses l'étouffaient, elle écrivait à quelques amis sûrs et s'épanchait dans de splendides poèmes pour retrouver son équilibre.
Son désir de pureté absolue trop intransigeant, son honnêteté totale effrayaient parfois ceux qui l'aimaient ou auraient pu l'aimer. Volodia Teitelboim, qui fut son élève dépeint sa vie après de minutieuses recherches.
Neruda
Volodia Teitelboim
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