Fulgurances. Poésie minimaliste

Par : Marcel Peltier
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  • Nombre de pages54
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.08 kg
  • Dimensions13,0 cm × 20,0 cm × 0,6 cm
  • ISBN978-2-84924-605-4
  • EAN9782849246054
  • Date de parution04/02/2020
  • ÉditeurCygne (Editions du)

Résumé

A écrire "court" et à évoquer une sublime grandeur partagée, Marcel ne laisse rien au hasard dans le doigté maîtrisé d'une langue sûre d'elle, mais également sûre de la connivence d'autrui. C'est que la "vraie vie" se suffit à elle-même en très peu de mots. N'incite-t-il pas, en effet, à susciter des "mots blancs" pour sa "feuille blanche" ? Le raccourci de l'évidence bouscule nos neurones déshabitués de l'essentiel, Marcel rangeant, à sa façon, sa belle chambre à mots où sursaute parfois une juxtaposition fulgurante telle une danseuse surgirait d'une boîte à musique à esquisser, sous nos yeux, quelques pas de danse contrôlés dans la rigueur géographique du lieu circonscrit, révélant une improbable créativité bien en chair et en os, l'expression allant bien au-delà de l'apparence immédiate.
Cette poésie agit au plus près et avec la complicité mouvante, presque mathématique, de la promotion des neurones se comportant en électrons libres et d'autant mieux qu'on ne maîtrise pas entièrement la situation. Le poète, on le sait, fait du mieux qu'il peut à jouer à cache-cache avec une science parfaite mais pas entièrement soumise à ses recherches. On frise la recherche fondamentale perpétuellement insatisfaite car en évolution constante.
Il n'y a pas de but à atteindre. Il n'y a que l'immense plaisir d'être en quête perpétuelle à vouloir comprendre en se satisfaisant d'une certaine audace.
A écrire "court" et à évoquer une sublime grandeur partagée, Marcel ne laisse rien au hasard dans le doigté maîtrisé d'une langue sûre d'elle, mais également sûre de la connivence d'autrui. C'est que la "vraie vie" se suffit à elle-même en très peu de mots. N'incite-t-il pas, en effet, à susciter des "mots blancs" pour sa "feuille blanche" ? Le raccourci de l'évidence bouscule nos neurones déshabitués de l'essentiel, Marcel rangeant, à sa façon, sa belle chambre à mots où sursaute parfois une juxtaposition fulgurante telle une danseuse surgirait d'une boîte à musique à esquisser, sous nos yeux, quelques pas de danse contrôlés dans la rigueur géographique du lieu circonscrit, révélant une improbable créativité bien en chair et en os, l'expression allant bien au-delà de l'apparence immédiate.
Cette poésie agit au plus près et avec la complicité mouvante, presque mathématique, de la promotion des neurones se comportant en électrons libres et d'autant mieux qu'on ne maîtrise pas entièrement la situation. Le poète, on le sait, fait du mieux qu'il peut à jouer à cache-cache avec une science parfaite mais pas entièrement soumise à ses recherches. On frise la recherche fondamentale perpétuellement insatisfaite car en évolution constante.
Il n'y a pas de but à atteindre. Il n'y a que l'immense plaisir d'être en quête perpétuelle à vouloir comprendre en se satisfaisant d'une certaine audace.