Frontière/Grens
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- Nombre de pages94
- PrésentationRelié
- Poids0.398 kg
- Dimensions21,9 cm × 17,2 cm × 1,3 cm
- ISBN978-2-87340-256-3
- EAN9782873402563
- Date de parution13/08/2010
- CollectionCôté photo
- ÉditeurYellow now
Résumé
L'Atomium, la Grand Place de Bruxelles, les canaux de Bruges, le Lion de Waterloo, le Zwin, les Fagnes ou encore le carrefour Léonard, le viaduc de Beez... Ces endroits, et bien d'autres, sont des lieux connus, presque des " lieux communs ", qui suscitent chez la plupart des Belges une représentation instantanée, parce qu'ils y sont allés, qu'ils y sont passés, ou simplement parce qu'ils en ont vu des images, ici ou là.
Mais il existe un endroit hautement symbolique, dont on parle beaucoup mais dont notre cerveau peine à élaborer la moindre image : la frontière linguistique. Par curiosité, par jeu, par défi, par antinomie peut-être, Michel Castermans est parti à la recherche des traces et des marques de cette frontière, parce que ce qui existe doit pouvoir être photographié - à moins que ce ne soit pour en vérifier l'existence même, entre absurde absence et impalpable présence...
Il en résulte une série de photos prises de Comines aux Fourons, une diagonale que chacun pourra lire selon sa sensibilité, son appartenance culturelle et ses références personnelles. Un voyage au coeur d'une Belgique méconnue, attentif à la fois à sa beauté plastique, à ses tragédies infimes, à son insignifiance.
Mais il existe un endroit hautement symbolique, dont on parle beaucoup mais dont notre cerveau peine à élaborer la moindre image : la frontière linguistique. Par curiosité, par jeu, par défi, par antinomie peut-être, Michel Castermans est parti à la recherche des traces et des marques de cette frontière, parce que ce qui existe doit pouvoir être photographié - à moins que ce ne soit pour en vérifier l'existence même, entre absurde absence et impalpable présence...
Il en résulte une série de photos prises de Comines aux Fourons, une diagonale que chacun pourra lire selon sa sensibilité, son appartenance culturelle et ses références personnelles. Un voyage au coeur d'une Belgique méconnue, attentif à la fois à sa beauté plastique, à ses tragédies infimes, à son insignifiance.
L'Atomium, la Grand Place de Bruxelles, les canaux de Bruges, le Lion de Waterloo, le Zwin, les Fagnes ou encore le carrefour Léonard, le viaduc de Beez... Ces endroits, et bien d'autres, sont des lieux connus, presque des " lieux communs ", qui suscitent chez la plupart des Belges une représentation instantanée, parce qu'ils y sont allés, qu'ils y sont passés, ou simplement parce qu'ils en ont vu des images, ici ou là.
Mais il existe un endroit hautement symbolique, dont on parle beaucoup mais dont notre cerveau peine à élaborer la moindre image : la frontière linguistique. Par curiosité, par jeu, par défi, par antinomie peut-être, Michel Castermans est parti à la recherche des traces et des marques de cette frontière, parce que ce qui existe doit pouvoir être photographié - à moins que ce ne soit pour en vérifier l'existence même, entre absurde absence et impalpable présence...
Il en résulte une série de photos prises de Comines aux Fourons, une diagonale que chacun pourra lire selon sa sensibilité, son appartenance culturelle et ses références personnelles. Un voyage au coeur d'une Belgique méconnue, attentif à la fois à sa beauté plastique, à ses tragédies infimes, à son insignifiance.
Mais il existe un endroit hautement symbolique, dont on parle beaucoup mais dont notre cerveau peine à élaborer la moindre image : la frontière linguistique. Par curiosité, par jeu, par défi, par antinomie peut-être, Michel Castermans est parti à la recherche des traces et des marques de cette frontière, parce que ce qui existe doit pouvoir être photographié - à moins que ce ne soit pour en vérifier l'existence même, entre absurde absence et impalpable présence...
Il en résulte une série de photos prises de Comines aux Fourons, une diagonale que chacun pourra lire selon sa sensibilité, son appartenance culturelle et ses références personnelles. Un voyage au coeur d'une Belgique méconnue, attentif à la fois à sa beauté plastique, à ses tragédies infimes, à son insignifiance.