Fraternités, emprises, esclavages. Psychanalyse et Anthropologie critique

Par : Marie-Laure Dimon

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  • Nombre de pages258
  • PrésentationBroché
  • Poids0.325 kg
  • Dimensions13,8 cm × 21,5 cm × 1,4 cm
  • ISBN978-2-296-99744-8
  • EAN9782296997448
  • Date de parution01/12/2012
  • CollectionPsychanalyse et civilisations
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Au croisement de la psychanalyse, de l'anthropologie et de l'histoire, cet ouvrage au titre baroque est le fruit de deux Rencontres-débat organisées par le Collège International de Psychanalyse et d'Anthropologie. L'originalité de cette recherche est d'avoir envisagé la fraternité et l'esclavage dans leurs antinomies et dans leurs conflictualités étayées sur l'emprise. La richesse et la diversité des communications ont pour horizon les liens sociaux constitués, dès l'origine, sur les éléments de fraternités, de servitudes volontaires et involontaires rassemblant et articulant les individus au social et à la culture.
Les auteurs interrogent comme voie d'accès, l'emprise, condition du lien social, avec ses différentes attaches et aliénations, voire ses formes ultimes de chosification des êtres qui produisent des névroses individuelles et collectives ou, actuellement, laissent chacun à la marge, hors limites. Ce qui dévoile les mouvements psychiques de déshumanisation et d'a-humanisation. La tentation primordiale de l'humain n'est-elle pas de reproduire de l'inhumain au détriment d'une possible fraternité dans le groupe et entre les individus ?
Au croisement de la psychanalyse, de l'anthropologie et de l'histoire, cet ouvrage au titre baroque est le fruit de deux Rencontres-débat organisées par le Collège International de Psychanalyse et d'Anthropologie. L'originalité de cette recherche est d'avoir envisagé la fraternité et l'esclavage dans leurs antinomies et dans leurs conflictualités étayées sur l'emprise. La richesse et la diversité des communications ont pour horizon les liens sociaux constitués, dès l'origine, sur les éléments de fraternités, de servitudes volontaires et involontaires rassemblant et articulant les individus au social et à la culture.
Les auteurs interrogent comme voie d'accès, l'emprise, condition du lien social, avec ses différentes attaches et aliénations, voire ses formes ultimes de chosification des êtres qui produisent des névroses individuelles et collectives ou, actuellement, laissent chacun à la marge, hors limites. Ce qui dévoile les mouvements psychiques de déshumanisation et d'a-humanisation. La tentation primordiale de l'humain n'est-elle pas de reproduire de l'inhumain au détriment d'une possible fraternité dans le groupe et entre les individus ?