Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Françoise Thieck "poète trop effacée" ? Oui, assurément. Et le temps qui file n'a rien à voir avec cette discrétion naturelle qui semble chez elle...
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Livré chez vous entre le 28 septembre et le 8 octobre
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Résumé
Françoise Thieck "poète trop effacée" ? Oui, assurément. Et le temps qui file n'a rien à voir avec cette discrétion naturelle qui semble chez elle la marque d'un certain besoin pour mieux percevoir les messages de l'invisible qu'elle ne cesse de traquer... Françoise Thieck commença à écrire avant 1968 et fait partie de cette génération qui vit les naissances des mythiques revues Chorus, Exit, Présence et Regards et autres Jungle ou Le Pont de l'Epée. Elle n'a cessé de peaufiner ses images captées pour dire la tendresse ou la révolte d'un paysage, fidèle à ce que Robert Sabatier appela "une perception nouvelle des vibrations poétiques et cachées de l'univers". L'oeuvre de Thieck, dans son ensemble, est toujours "une histoire de passion", "passion comme partez, passion comme partout" écrit-elle. Cette poésie, exemplaire, risque de flirter avec la durée et c'est le pari que nous prenons. Par ailleurs, en militante d'une authentique littérature contemporaine, Françoise Thieck a fondé et anime toujours la revue Midi qui, comme elle, ne fait de concession à nulle mode, même et surtout en ce qui concerne ces artistes qui viennent comme appuyer et jouer du contre-point avec les poètes d'aujourd'hui qu'elle apprécie. Certes, Françoise Thieck est bien la première femme que nous avons la joie d'accueillir dans notre série "poètes trop effacés" qui défend l'idée de promouvoir en priorité les plus discrets et souvent les plus essentiels de nos créateurs. Mais, sachant qu'il n'existe spécifiquement pas à nos yeux une poésie féminine, nous voulons surtout attirer l'attention du public et de la critique libre sur cette prose poétique très rare, sur cette quête d'une certaine lumière saluée au fil de voyages hantés de beauté magique. François Thieck ou l'aveu d'une âme de migratrice impénitente...