Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Bacon passait pour être, parmi les peintres vivants, l'un des plus chers au monde. Y a-t-il là seulement un effet de commerce ou de mode ? Cette pauvreté...
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Livré chez vous entre le 1 octobre et le 3 octobre
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Résumé
Bacon passait pour être, parmi les peintres vivants, l'un des plus chers au monde. Y a-t-il là seulement un effet de commerce ou de mode ? Cette pauvreté foncière de l'être humain que ses toiles nous font toucher à même la peau n'a pas de prix. Le rachat d'une telle misère est à la limite impossible. L'horreur dans la beauté, la magnificence dans la douleur cette fascination ambiguë prend là sa source. L'être humain y est peint désespécé, en perdition de son appartenance à l'espèce humaine. Michèle Monjauze, familière de la psychothérapie des grands buveurs (La Problématique alcoolique, In press), étudie à travers Bacon les paradoxes propres à l'alcoolique créateur. Didier Anzieu, psychanalyste, auteur du Corps de l'œuvre, du Moi-peau, de Beckett, voit dans la peinture de Bacon un renouveau de la pensée empiriste anglaise, dont il montre la parenté avec l'œuvre romanesque de Beckett et l'œuvre théorique du psychanalyste Bion.