Né le 5 juin 1955 à Marseille, Régis Jauffret est l'auteur d'une vingtaine de romans édités d'abord chez Gallimard, puis, depuis 2010, aux éditions du Seuil. C'est un habitué des récompenses : prix Décembre en 2003 pour "Univers, univers", prix Fémina en 2005 pour "Asile de fous", prix France-Culture/Télérama en 2007 pour son recueil de 500 nouvelles "Microfictions"
Il puise souvent son inspiration dans les faits divers les plus glauques, c'est le cas dans "Sévère" (2010) où il revisite le meurtre du banquier Edouard Stern, ce qui lui vaut l'ire de la famille mais le soutien de nombreux écrivains, et dans "Claustria" (2012), inspiré par le calvaire subi durant de nombreuses années par une jeune autrichienne maintenue enfermée par son ravisseur.
Fragments De La Vie Des Gens
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- Nombre de pages336
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.32 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 2,2 cm
- ISBN2-84335-052-2
- EAN9782843350528
- Date de parution15/03/2000
- ÉditeurVerticales (editions)
Résumé
On peut écrire un roman d'une page ou de trois mille. J'ai écrit la cinquantaine de " romans " qui composent " Fragments de la vie des gens " à la suite l'un de l'autre, pendant deux ans, sans la moindre interruption dans le temps. Je préfère les appeler " romans " et non " récits " ou " nouvelles " qui sont des mots tristes comme des cercueils. " Fragments de la vie des gens ", c'est le prisme à travers lequel, à un certain moment de ma vie, j'ai vu non seulement mon existence mais aussi la société tout entière. Je n'ai que l'expérience assez restreinte du milieu dans lequel je vis, pourtant je me sens très proche de toutes ces zones de la société où la souffrance est presque obligatoire tant aucune chance ne vous est accordée. R-J.
On peut écrire un roman d'une page ou de trois mille. J'ai écrit la cinquantaine de " romans " qui composent " Fragments de la vie des gens " à la suite l'un de l'autre, pendant deux ans, sans la moindre interruption dans le temps. Je préfère les appeler " romans " et non " récits " ou " nouvelles " qui sont des mots tristes comme des cercueils. " Fragments de la vie des gens ", c'est le prisme à travers lequel, à un certain moment de ma vie, j'ai vu non seulement mon existence mais aussi la société tout entière. Je n'ai que l'expérience assez restreinte du milieu dans lequel je vis, pourtant je me sens très proche de toutes ces zones de la société où la souffrance est presque obligatoire tant aucune chance ne vous est accordée. R-J.