Former, certifier, insérer. Effets et paradoxes de l'injonction à la professionnalisation des diplômes
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages252
- PrésentationBroché
- Poids0.408 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-7535-1792-9
- EAN9782753517929
- Date de parution26/01/2012
- CollectionDes Sociétés
- ÉditeurPU Rennes
Résumé
C'est au nom de l'amélioration des modes d'accès à l'emploi et de la résorption du chômage que le diplôme a pris une place majeure dans notre organisation sociale, au fil des trente dernières années. Obligatoirement "professionnel", le diplôme doit désormais préparer à l'emploi, garantir la possession de compétences professionnelles spécifiques, assurer l'insertion professionnelle. Et en faire la preuve.
De nouvelles règles s'imposent donc aux diplômes et à ceux qui les élaborent, pour se conformer à ce modèle professionnaliste. Pour autant, de nombreuses questions restent ouvertes : sur le sens des termes en usage, leur traduction pratique dans les politiques publiques ou par les branches professionnelles, ou sur les effets des réformes mises en oeuvre pour généraliser la professionnalisation des formations et des diplômes.
À partir de ces questions, cet ouvrage invite à une réflexion sur ce qu'engage l'appel à la performance productive imposé aux diplômes : à ceux qui les élaborent, qui y forment comme à ceux qui les détiennent.
De nouvelles règles s'imposent donc aux diplômes et à ceux qui les élaborent, pour se conformer à ce modèle professionnaliste. Pour autant, de nombreuses questions restent ouvertes : sur le sens des termes en usage, leur traduction pratique dans les politiques publiques ou par les branches professionnelles, ou sur les effets des réformes mises en oeuvre pour généraliser la professionnalisation des formations et des diplômes.
À partir de ces questions, cet ouvrage invite à une réflexion sur ce qu'engage l'appel à la performance productive imposé aux diplômes : à ceux qui les élaborent, qui y forment comme à ceux qui les détiennent.
C'est au nom de l'amélioration des modes d'accès à l'emploi et de la résorption du chômage que le diplôme a pris une place majeure dans notre organisation sociale, au fil des trente dernières années. Obligatoirement "professionnel", le diplôme doit désormais préparer à l'emploi, garantir la possession de compétences professionnelles spécifiques, assurer l'insertion professionnelle. Et en faire la preuve.
De nouvelles règles s'imposent donc aux diplômes et à ceux qui les élaborent, pour se conformer à ce modèle professionnaliste. Pour autant, de nombreuses questions restent ouvertes : sur le sens des termes en usage, leur traduction pratique dans les politiques publiques ou par les branches professionnelles, ou sur les effets des réformes mises en oeuvre pour généraliser la professionnalisation des formations et des diplômes.
À partir de ces questions, cet ouvrage invite à une réflexion sur ce qu'engage l'appel à la performance productive imposé aux diplômes : à ceux qui les élaborent, qui y forment comme à ceux qui les détiennent.
De nouvelles règles s'imposent donc aux diplômes et à ceux qui les élaborent, pour se conformer à ce modèle professionnaliste. Pour autant, de nombreuses questions restent ouvertes : sur le sens des termes en usage, leur traduction pratique dans les politiques publiques ou par les branches professionnelles, ou sur les effets des réformes mises en oeuvre pour généraliser la professionnalisation des formations et des diplômes.
À partir de ces questions, cet ouvrage invite à une réflexion sur ce qu'engage l'appel à la performance productive imposé aux diplômes : à ceux qui les élaborent, qui y forment comme à ceux qui les détiennent.