Fontenay-le-Comte sous la Révolution. Les malentendus de la liberté

Par : Jean Artarit

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Nombre de pages490
  • PrésentationBroché
  • Poids0.75 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,5 cm
  • ISBN978-2-911253-61-4
  • EAN9782911253614
  • Date de parution08/04/2014
  • ÉditeurCVRH
  • PréfacierAlain Gérard

Résumé

Fontenay-le-Comte, chef-lieu du département de la Vendée, est particulièrement humilié, souillé, martyrisé, durant la Révolution française. En 1789, la Révolution de la liberté et de l'égalité y avait été accueillie avec enthousiasme. En 1793, la ville, qui a pris le nom de Fontenay-le-Peuple, reste fidèle à la République, s'oppose à l'insurrection vendéenne et plusieurs dizaines de ses citoyens trouvent la mort en combattant les insurgés, notamment lors de la prise de la ville le 25 mai.
Par ailleurs, quelle que soit leur origine sociale et quel que soit le moment, ceux qui dirigent Fontenay, administrateurs et surtout municipaux, opposent une résistance acharnée à la confiscation de "leur" révolution par les partisans de la Terreur, la plupart étrangers, menés par des représentants en mission adeptes de la table rase. Le combat permanent des Fontenaisiens pour la liberté, leur opposition, au nom des principes mêmes de la Révolution, à l'extermination de leurs concitoyens des campagnes, les Vendéens, et leur refus de l'instauration d'un régime de haine et de tyrannie demeurent un grand exemple.
Fontenay-le-Comte, chef-lieu du département de la Vendée, est particulièrement humilié, souillé, martyrisé, durant la Révolution française. En 1789, la Révolution de la liberté et de l'égalité y avait été accueillie avec enthousiasme. En 1793, la ville, qui a pris le nom de Fontenay-le-Peuple, reste fidèle à la République, s'oppose à l'insurrection vendéenne et plusieurs dizaines de ses citoyens trouvent la mort en combattant les insurgés, notamment lors de la prise de la ville le 25 mai.
Par ailleurs, quelle que soit leur origine sociale et quel que soit le moment, ceux qui dirigent Fontenay, administrateurs et surtout municipaux, opposent une résistance acharnée à la confiscation de "leur" révolution par les partisans de la Terreur, la plupart étrangers, menés par des représentants en mission adeptes de la table rase. Le combat permanent des Fontenaisiens pour la liberté, leur opposition, au nom des principes mêmes de la Révolution, à l'extermination de leurs concitoyens des campagnes, les Vendéens, et leur refus de l'instauration d'un régime de haine et de tyrannie demeurent un grand exemple.