Fonctionnaire moyen. Un attaché d'administration témoigne

Par : Bernard Letondu

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  • Nombre de pages138
  • PrésentationBroché
  • Poids0.16 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-296-09429-1
  • EAN9782296094291
  • Date de parution18/05/2009
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Un fonctionnaire témoigne de ses débuts dans l'Administration. A travers ses mésaventures et ses déboires, dont il essaie d'analyser les causes, il dénonce un système administratif bloqué, qui multiplie les causes de frustration et oblige les agents concernés à se comporter d'une manière absurde. Il en résulte une démotivation certaine et une véritable allergie au travail chez la plupart des fonctionnaires. En décalage avec le discours officiel sur la méritocratie et l'égalité des chances, notre administration " que le monde nous envie ", sans aller toutefois jusqu'à essayer de s'en inspirer, est à l'image de la société française. Celle-ci, depuis les années 1970, gaspille systématiquement son capital humain en dévalorisant et en démoralisant ses salariés. L'auteur a choisi comme pseudonyme le nom d'un personnage du fameux roman de Courteline, qui stigmatisait les " ronds-de-cuir ".
Un fonctionnaire témoigne de ses débuts dans l'Administration. A travers ses mésaventures et ses déboires, dont il essaie d'analyser les causes, il dénonce un système administratif bloqué, qui multiplie les causes de frustration et oblige les agents concernés à se comporter d'une manière absurde. Il en résulte une démotivation certaine et une véritable allergie au travail chez la plupart des fonctionnaires. En décalage avec le discours officiel sur la méritocratie et l'égalité des chances, notre administration " que le monde nous envie ", sans aller toutefois jusqu'à essayer de s'en inspirer, est à l'image de la société française. Celle-ci, depuis les années 1970, gaspille systématiquement son capital humain en dévalorisant et en démoralisant ses salariés. L'auteur a choisi comme pseudonyme le nom d'un personnage du fameux roman de Courteline, qui stigmatisait les " ronds-de-cuir ".