Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Vers quatre heures, je m'éveillai. Il y avait un boucan d'enfer sur la place où le nègre avait été lynché la veille. Une foule hurlante s'était...
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Livré chez vous entre le 28 septembre et le 1 octobre
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Résumé
Vers quatre heures, je m'éveillai. Il y avait un boucan d'enfer sur la place où le nègre avait été lynché la veille. Une foule hurlante s'était rassemblée autour des camions des messageries. Ils faisaient dégringoler les paquets de journaux, les saccageaient et les déchiraient. Je vis un chauffeur marcher à reculons. Quatre ou cinq malabars le bourraient de coups.
De la fenêtre, je pris un cliché et descendis dans le hall de l'hôtel téléphoner au chef des informations de mon canard.
Je retournai me coucher et m'endormis à nouveau. A mon réveil, j'aperçus un feuillet glissé sous la porte de ma chambre. " Ici, parvins-je à déchiffrer d'un œil inquiet, on n'aime pas les journalistes de Baltimore. Foutez le camp immédiatement si vous ne voulez pas subir le même sort que le nègre. "
"Vers quatre heures, je m'éveillai. Il y avait un boucan d'enfer sur la place où le nègre avait été lynché la veille. Une foule hurlante s'était rassemblée autour des camions des messageries. Ils faisaient dégringoler les paquets de journaux, les saccagaient et les déchiraient. Je vis un chauffeur marcher à reculons. Quatre ou cinq malabars le bourraient de coups. De la fenêtre, je pris un cliché et descendis dans le hall de l'hôtel téléphoner au chef des informations de mon canard. Je retournai me coucher et m'endormis à nouveau. A mon réveil, j'aperçus un feuillet glissé sous la porte de ma chambre. "Ici, parvins-je à déchiffrer d'un oeil inquiet, on n'aime pas les journalistes de Baltimore. Foutez le camp immédiatement si vous ne voulez pas subir le même sort que le nègre". "