Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Ce livre reprend l'essentiel des leçons faites par l'auteur, en 2002, à l'Université libre de Bruxelles, dans le cadre de la chaire Francqui. Prenant...
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Livré chez vous entre le 25 septembre et le 28 septembre
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Résumé
Ce livre reprend l'essentiel des leçons faites par l'auteur, en 2002, à l'Université libre de Bruxelles, dans le cadre de la chaire Francqui. Prenant acte de la thèse selon laquelle la priorité de l'infini sur le fini nous est devenue étrangère, il interroge la philosophie moderne, de Descartes jusqu'à l'ontologie phénoménologique. Articulant la finitude et la représentation, il discerne trois moments :
L'âge de la représentation et de l'infini positif.
L'âge de la représentation conjuguée à la finitude sensible. L'âge de la finitude délivrée de la représentation.
L'hypothèse qui sert de fil conducteur à ces leçons revient à marquer l'écart qui sépare le point de vue de la critique de la connaissance, y compris sous sa figure phénoménologique, du point de vue de l'ontologie. Corrélativement à ce fini dans l'infini qu'est la connaissance du point de vue de la critique, il paraît nécessaire de penser un infini dans le fini. La critique de la connaissance oppose l'infini au fini comme le penser au connaître, comme les produits illusoires de la subjectivité à la représentation fondée intuitivement. La tâche de l'ontologie serait alors, à l'inverse, de penser l'opposition de l'infini et du fini en tant qu'elle recoupe celle de la chose et de ses représentations.