Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
L'actionnariat des grands groupes s'est largement ouvert à des fonds d'investissement (assurance, pension, épargne). Agissant en gérants de portefeuille,...
Lire la suite
35,00 €
Neuf
Expédié sous 3 à 6 jours
Livré chez vous entre le 30 avril et le 3 mai
En librairie
Résumé
L'actionnariat des grands groupes s'est largement ouvert à des fonds d'investissement (assurance, pension, épargne). Agissant en gérants de portefeuille, ils se déplacent d'un titre à un autre, d'un pays à un autre, d'un émetteur à un autre. La globalisation financière a précipité cette évolution. En s'ouvrant aux dimensions du monde, la mobilité des capitaux s'est accrue et elle impose des " standards " internationaux. Un modèle homogène de comportement actionnarial se diffuse. Ainsi, les orientations stratégiques des groupes s'alignent sur les attentes des gestionnaires de fonds : recentrage sur un métier, scissions de groupes, stratégie de glissement vers l'aval, rachats d'actions, montages à effets de levier, gouvernement d'entreprise sont autant d'expressions d'une même tendance à la " financiarisation " des stratégies. Le premier objet de cet ouvrage est d'exposer les formes de la " financiarisation " des stratégies. Le second est de présenter les concepts et les mesures qui servent aux gérants de fonds à évaluer la rentabilité de " leurs " entreprises.
Laurent Batsch est professeur des universités en sciences de gestion. Il enseigne la finance d'entreprise. Il a publié : La croissance des groupes industriels (Economica) et Le diagnostic financier (Economica).