Dans une ultime lettre, l'auteure tente de renouer le dialogue douloureux avec sa mère défunte depuis un an. Le long monologue qui s'écoule alors au fil des jours, comme une prière pour les morts, est rythmé par la tradition ancestrale, une façon de ne pas laisser la filiation s'éteindre.
Dans une ultime lettre, l'auteure tente de renouer le dialogue douloureux avec sa mère défunte depuis un an. Le long monologue qui s'écoule alors au fil des jours, comme une prière pour les morts, est rythmé par la tradition ancestrale, une façon de ne pas laisser la filiation s'éteindre.