Fin de siècle
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- Nombre de pages256
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.15 kg
- Dimensions10,8 cm × 17,8 cm × 1,7 cm
- ISBN2-07-037741-5
- EAN9782070377411
- Date de parution04/06/1986
- CollectionFolio
- ÉditeurGallimard
Résumé
Un festival en quatre longues nouvelles. Fleur-du-Ciel commence à Vienne et finit à Pékin : trois officiers se disputent Ida Maria von Karisch, qui a vécu légèrement mais finit comme une sainte, lazariste, torturée à mort par les Boxers. La Présidente nous transporte dans une famille américaine. Le Bazar de la Charité est une histoire d'adultère qui se déroule comme un vaudeville, en marge d'un atroce fait divers.
Dans Feu monsieur le duc, celui dont on lorgne l'héritage va berner après sa mort toute sa famille. Quatre nouvelles au style à la fois élégant et très alerte, qui sont comme des instantanés d'un monde en train de disparaître. Paul Morand était hanté par le sentiment de l'agonie de l'Europe, il tenait à son rôle de témoin, lui qui avait connu la fin de la Belle Epoque. Jean Giraudoux le qualifiait de "pessimiste gai", et c'est bien le ton de ce recueil.
Dans Feu monsieur le duc, celui dont on lorgne l'héritage va berner après sa mort toute sa famille. Quatre nouvelles au style à la fois élégant et très alerte, qui sont comme des instantanés d'un monde en train de disparaître. Paul Morand était hanté par le sentiment de l'agonie de l'Europe, il tenait à son rôle de témoin, lui qui avait connu la fin de la Belle Epoque. Jean Giraudoux le qualifiait de "pessimiste gai", et c'est bien le ton de ce recueil.
Un festival en quatre longues nouvelles. Fleur-du-Ciel commence à Vienne et finit à Pékin : trois officiers se disputent Ida Maria von Karisch, qui a vécu légèrement mais finit comme une sainte, lazariste, torturée à mort par les Boxers. La Présidente nous transporte dans une famille américaine. Le Bazar de la Charité est une histoire d'adultère qui se déroule comme un vaudeville, en marge d'un atroce fait divers.
Dans Feu monsieur le duc, celui dont on lorgne l'héritage va berner après sa mort toute sa famille. Quatre nouvelles au style à la fois élégant et très alerte, qui sont comme des instantanés d'un monde en train de disparaître. Paul Morand était hanté par le sentiment de l'agonie de l'Europe, il tenait à son rôle de témoin, lui qui avait connu la fin de la Belle Epoque. Jean Giraudoux le qualifiait de "pessimiste gai", et c'est bien le ton de ce recueil.
Dans Feu monsieur le duc, celui dont on lorgne l'héritage va berner après sa mort toute sa famille. Quatre nouvelles au style à la fois élégant et très alerte, qui sont comme des instantanés d'un monde en train de disparaître. Paul Morand était hanté par le sentiment de l'agonie de l'Europe, il tenait à son rôle de témoin, lui qui avait connu la fin de la Belle Epoque. Jean Giraudoux le qualifiait de "pessimiste gai", et c'est bien le ton de ce recueil.