Figures pissantes
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages158
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.356 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,3 cm
- ISBN978-2-86589-087-3
- EAN9782865890873
- Date de parution03/11/2016
- CollectionPatte d'oie
- ÉditeurMacula (Editions)
Résumé
Sous ce titre un peu curieux, Figures pissantes, se cache une étude magistrale, mais non dépourvue d'humour, des représentations de personnages – petits ou grands – en train d'uriner. Elle débute par les représentations joyeuses, festives, du puer mingens, une iconographie que l'on retrouve sur les sarcophages romains tardifs, dans des bacchanales de petits Amours, chez les putti de la Renaissance.
Jean-Claude Lebensztejn bascule ensuite chez les adultes pisseurs, des représentations un peu voyeuses de Boucher et sa Femme qui pisse aux pisseuses de Picasso ou de Gauguin. Puis les représentations finissent par mettre en scène le glauque, le sordide : chez Mapplethorpe, chez Andres Serrano. Au fil de la lecture, l'urine passe ainsi de l'aqua santa du bébé à une image de la profanation, de la dépravation.
Le texte est accompagné d'une iconographie foisonnante dans laquelle on devine toute l'érudition de l'auteur.
Jean-Claude Lebensztejn bascule ensuite chez les adultes pisseurs, des représentations un peu voyeuses de Boucher et sa Femme qui pisse aux pisseuses de Picasso ou de Gauguin. Puis les représentations finissent par mettre en scène le glauque, le sordide : chez Mapplethorpe, chez Andres Serrano. Au fil de la lecture, l'urine passe ainsi de l'aqua santa du bébé à une image de la profanation, de la dépravation.
Le texte est accompagné d'une iconographie foisonnante dans laquelle on devine toute l'érudition de l'auteur.
Sous ce titre un peu curieux, Figures pissantes, se cache une étude magistrale, mais non dépourvue d'humour, des représentations de personnages – petits ou grands – en train d'uriner. Elle débute par les représentations joyeuses, festives, du puer mingens, une iconographie que l'on retrouve sur les sarcophages romains tardifs, dans des bacchanales de petits Amours, chez les putti de la Renaissance.
Jean-Claude Lebensztejn bascule ensuite chez les adultes pisseurs, des représentations un peu voyeuses de Boucher et sa Femme qui pisse aux pisseuses de Picasso ou de Gauguin. Puis les représentations finissent par mettre en scène le glauque, le sordide : chez Mapplethorpe, chez Andres Serrano. Au fil de la lecture, l'urine passe ainsi de l'aqua santa du bébé à une image de la profanation, de la dépravation.
Le texte est accompagné d'une iconographie foisonnante dans laquelle on devine toute l'érudition de l'auteur.
Jean-Claude Lebensztejn bascule ensuite chez les adultes pisseurs, des représentations un peu voyeuses de Boucher et sa Femme qui pisse aux pisseuses de Picasso ou de Gauguin. Puis les représentations finissent par mettre en scène le glauque, le sordide : chez Mapplethorpe, chez Andres Serrano. Au fil de la lecture, l'urine passe ainsi de l'aqua santa du bébé à une image de la profanation, de la dépravation.
Le texte est accompagné d'une iconographie foisonnante dans laquelle on devine toute l'érudition de l'auteur.