Jean-Louis Charlet fait revivre dans cette somme la passion pour la numismatique, "ce feu qui dévore" et qui consume pendant plusieurs siècles, entre Aix, Avignon et Marseille, les intelligences les plus diverses, depuis Peiresc, le grand érudit humaniste aixois, jusqu'à l'archéologue Henri Rolland, en passant par les présidents Jules et Alexandre Fauris de Saint- Vincens, le collectionneur Roger de Meyran, marquis de Lagoy, le naturaliste Esprit Requien, le dessinateur Joseph Laugier ou l'archiviste Maurice Raimbault.
Conservateurs de musées, archivistes, archéologues, chercheurs, collectionneurs, changeurs, orfèvres, marchands, mais aussi maréchaux-ferrants, meuniers ou gardes forestiers et autres "numismatistes" s'échangeaient avec générosité ou négociaient mesquinement vraies (ou fausses) monnaies antiques, médiévales et modernes, de Provence ou d'ailleurs, qu'ils s'envoyaient à l'occasion, si elles étaient de petite dimension, en les dissimulant sous le cachet de cire de la lettre.
Jean-Louis Charlet fait revivre dans cette somme la passion pour la numismatique, "ce feu qui dévore" et qui consume pendant plusieurs siècles, entre Aix, Avignon et Marseille, les intelligences les plus diverses, depuis Peiresc, le grand érudit humaniste aixois, jusqu'à l'archéologue Henri Rolland, en passant par les présidents Jules et Alexandre Fauris de Saint- Vincens, le collectionneur Roger de Meyran, marquis de Lagoy, le naturaliste Esprit Requien, le dessinateur Joseph Laugier ou l'archiviste Maurice Raimbault.
Conservateurs de musées, archivistes, archéologues, chercheurs, collectionneurs, changeurs, orfèvres, marchands, mais aussi maréchaux-ferrants, meuniers ou gardes forestiers et autres "numismatistes" s'échangeaient avec générosité ou négociaient mesquinement vraies (ou fausses) monnaies antiques, médiévales et modernes, de Provence ou d'ailleurs, qu'ils s'envoyaient à l'occasion, si elles étaient de petite dimension, en les dissimulant sous le cachet de cire de la lettre.