Figuration et mémoire dans les cinémas africains

Par : Jean Ouédraogo

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  • Nombre de pages258
  • PrésentationBroché
  • Poids0.33 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-2-296-10353-5
  • EAN9782296103535
  • Date de parution01/12/2010
  • CollectionImages plurielles
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Avec soixante ans d'âge, la pratique cinématographique en Afrique - même si elle se renouvelle à l'ère du numérique - a maintenant sa tradition. Restent cependant les houleux débats sur la production, la diffusion, la visibilité, l'orientation, et la survie (sur le continent et au-delà) des images africaines. Porteurs d'histoires, les cinémas africains deviennent ainsi constructeurs et gardiens d'une mémoire multiforme. Les textes rassemblés dans ce volume traversent images et imaginaires, et les narrations qui les portent. Les oeuvres étudiées renvoient au besoin existentiel de se dire, de s'inscrire dans les débats identitaires de l'heure, de dédire les accusations de sclérose des cinémas africains, et surtout de " séduire " par de nouveaux imaginaires. Remparts contre l'anamnèse et la marginalisation, les productions et les réflexions critiques qu'elles engendrent s'imposent comme des vecteurs de mémoire intrinsèque et extrinsèque.
Avec soixante ans d'âge, la pratique cinématographique en Afrique - même si elle se renouvelle à l'ère du numérique - a maintenant sa tradition. Restent cependant les houleux débats sur la production, la diffusion, la visibilité, l'orientation, et la survie (sur le continent et au-delà) des images africaines. Porteurs d'histoires, les cinémas africains deviennent ainsi constructeurs et gardiens d'une mémoire multiforme. Les textes rassemblés dans ce volume traversent images et imaginaires, et les narrations qui les portent. Les oeuvres étudiées renvoient au besoin existentiel de se dire, de s'inscrire dans les débats identitaires de l'heure, de dédire les accusations de sclérose des cinémas africains, et surtout de " séduire " par de nouveaux imaginaires. Remparts contre l'anamnèse et la marginalisation, les productions et les réflexions critiques qu'elles engendrent s'imposent comme des vecteurs de mémoire intrinsèque et extrinsèque.