Fichte et l'ontologie

Par : Max Marcuzzi
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  • Nombre de pages210
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.346 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN979-10-320-0159-2
  • EAN9791032001592
  • Date de parution26/04/2018
  • ÉditeurPU de Provence

Résumé

On sait que, pour Kant, "le nom orgueilleux d'une ontologie, qui prétend donner des choses en général des connaissances synthétiques a priori [...] doit faire place au nom modeste d'une simple analytique de l'entendement pur". L'ontologie, comme pensée de l'être, doit-elle alors disparaître de toute philosophie transcendantale ? Telle est la question qui anime ce volume, où sont proposés des regards croisés sur une possible "ontologie" fichtéenne.
Il en ressort la question du statut de l'absolu : faut-il s'y référer, ou peut-on s'en passer ? Et, corrélativement : quel degré de rupture Fichte veut-il instaurer entre métaphysique dogmatique et philosophie transcendantale ? Jusqu'à quel point celle-ci peut-elle se restreindre à ne déterminer que le savoir, sans devoir poser l'être sous la forme de Dieu ? On montre ici que pour Fichte, l'être et Dieu s'identifient, et l'ancienne métaphysique se réduit au binôme être/image.
Parce que l'être n'est chez Fichte rien de mort, mais vie et réalité dynamique, il est par soi créateur et mérite à ce titre d'être compris comme Dieu. Une simple reconduction de la pensée de Fichte à une métaphysique précritique manquerait donc l'essentiel de sa doctrine. C'est ce que veulent établir les études de ce volume.
On sait que, pour Kant, "le nom orgueilleux d'une ontologie, qui prétend donner des choses en général des connaissances synthétiques a priori [...] doit faire place au nom modeste d'une simple analytique de l'entendement pur". L'ontologie, comme pensée de l'être, doit-elle alors disparaître de toute philosophie transcendantale ? Telle est la question qui anime ce volume, où sont proposés des regards croisés sur une possible "ontologie" fichtéenne.
Il en ressort la question du statut de l'absolu : faut-il s'y référer, ou peut-on s'en passer ? Et, corrélativement : quel degré de rupture Fichte veut-il instaurer entre métaphysique dogmatique et philosophie transcendantale ? Jusqu'à quel point celle-ci peut-elle se restreindre à ne déterminer que le savoir, sans devoir poser l'être sous la forme de Dieu ? On montre ici que pour Fichte, l'être et Dieu s'identifient, et l'ancienne métaphysique se réduit au binôme être/image.
Parce que l'être n'est chez Fichte rien de mort, mais vie et réalité dynamique, il est par soi créateur et mérite à ce titre d'être compris comme Dieu. Une simple reconduction de la pensée de Fichte à une métaphysique précritique manquerait donc l'essentiel de sa doctrine. C'est ce que veulent établir les études de ce volume.
Fichte et l'ontologie
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