Feuillets pour Terpsichore. La danse par les textes du XVe au XVIIe siècle

Par : Marie-Joëlle Louison-Lassablière

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  • Nombre de pages240
  • PrésentationBroché
  • Poids0.31 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-296-03096-1
  • EAN9782296030961
  • Date de parution01/03/2007
  • CollectionUnivers de la danse
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Il était une fois une muse qui s'appelait Terpsichore... Elle inspira de si nombreux écrits qu'aujourd'hui il s'en trouve encore de méconnus : traités théoriques, manuels de pédagogie, ouvrages historiques, livrets de ballets, textes législatifs, discours moralistes, partitions chorégraphiques, autant de feuillets qui ont trouvé leur place dans cette anthologie. Les plus anciens sortirent des presses d'une imprimerie encore balbutiante ; les plus récents évoquent le crépuscule du roi-danseur.
De 1455 à 1715, la danse s'est écrite en français comme en latin, en prose comme en vers. Les auteurs ont consigné avec soin ses techniques, son lexique, ses règles, ses usages et ses modes pour tenter de fixer sur le papier un art des plus éphémères et d'y dessiner les continuités et les ruptures d'une pratique autant esthétique que sociale. Leurs textes, annotés et traduits si nécessaire, sont enchâssés dans une fresque diachronique qui analyse l'évolution du ballet et du bal de cour de la Renaissance au Grand Siècle.
Il était une fois une muse qui s'appelait Terpsichore... Elle inspira de si nombreux écrits qu'aujourd'hui il s'en trouve encore de méconnus : traités théoriques, manuels de pédagogie, ouvrages historiques, livrets de ballets, textes législatifs, discours moralistes, partitions chorégraphiques, autant de feuillets qui ont trouvé leur place dans cette anthologie. Les plus anciens sortirent des presses d'une imprimerie encore balbutiante ; les plus récents évoquent le crépuscule du roi-danseur.
De 1455 à 1715, la danse s'est écrite en français comme en latin, en prose comme en vers. Les auteurs ont consigné avec soin ses techniques, son lexique, ses règles, ses usages et ses modes pour tenter de fixer sur le papier un art des plus éphémères et d'y dessiner les continuités et les ruptures d'une pratique autant esthétique que sociale. Leurs textes, annotés et traduits si nécessaire, sont enchâssés dans une fresque diachronique qui analyse l'évolution du ballet et du bal de cour de la Renaissance au Grand Siècle.