IIl fallait oser ce genre littéraire. Patricia s'y est risquée avec Festins macabres. Des contes cyniques, sanglants, croqués sur le morbide. On a le sentiment de lire Allan Edgar Poe. On devient spectateur de l'abject, presque complice, les mots s'accrochant au lecteur comme s'il était le jouet, l'objet de l'auteur. Quand on a commencé cette lecture, on se fait piéger par le style brillant, raffiné, avant d'être happé par des abysses de noirceur dont on est incapable de s'extirper.
Fascinant, déstabilisant, obsédant, Festins macabres.
IIl fallait oser ce genre littéraire. Patricia s'y est risquée avec Festins macabres. Des contes cyniques, sanglants, croqués sur le morbide. On a le sentiment de lire Allan Edgar Poe. On devient spectateur de l'abject, presque complice, les mots s'accrochant au lecteur comme s'il était le jouet, l'objet de l'auteur. Quand on a commencé cette lecture, on se fait piéger par le style brillant, raffiné, avant d'être happé par des abysses de noirceur dont on est incapable de s'extirper.
Fascinant, déstabilisant, obsédant, Festins macabres.