Une sublime couverture, de nombreux prix gagnés, un titre intrigant et un résumé prometteur… J’attendais beaucoup de ce roman, mais il est loin de m’avoir convaincue. J’ai d’abord été déçue du nombre de fautes/coquilles et de certains choix de traduction dans les premiers chapitres. Une première impression un peu entachée, qui m’a laissée avec un petit goût amer pour toute la durée de ma lecture, malheureusement.
L’histoire en soi est assez originale : des groupes de jeunes triment sur les plages à la recherche de cuivre dans les bateaux échoués, une tâche compliquée
et mortelle. Chaque jour, il faut remplir des quotas et survivre à la pauvreté. Le thème sort de l’ordinaire et les détails de cette ère post-pétrolière, bien que peu nombreux, sont vraiment intéressants et promettent un univers hors du commun.
Par contre, une fois l’aventure du jeune Nailer lancée, tout se déroule sans grandes surprises. L’intrigue est assez convenue et le contexte original s’estompe pour laisser place à une traque banale et à l’éclosion d’une amitié entre nos deux héros. Ce roman est clairement destiné à de jeunes ados, avec ses personnages au vocabulaire très vulgaire et argotique. Si ce n’est l’univers esquissé, rien ne m’a particulièrement emballée. Le livre se lit facilement et rien n’est vraiment mauvais, mais l’histoire ne surprend pas et ne restera certainement pas dans ma mémoire.
Peut-être laisserai-je tout de même sa chance au deuxième tome, Les cités englouties, qui approfondit l’univers de ce roman avec des nouveaux personnages et de nouveaux enjeux. Le résumé est alléchant, mais la peur d’être encore déçue risque de me retenir…
Thème intéressant mais intrigue trop convenue
Une sublime couverture, de nombreux prix gagnés, un titre intrigant et un résumé prometteur… J’attendais beaucoup de ce roman, mais il est loin de m’avoir convaincue. J’ai d’abord été déçue du nombre de fautes/coquilles et de certains choix de traduction dans les premiers chapitres. Une première impression un peu entachée, qui m’a laissée avec un petit goût amer pour toute la durée de ma lecture, malheureusement.
L’histoire en soi est assez originale : des groupes de jeunes triment sur les plages à la recherche de cuivre dans les bateaux échoués, une tâche compliquée et mortelle. Chaque jour, il faut remplir des quotas et survivre à la pauvreté. Le thème sort de l’ordinaire et les détails de cette ère post-pétrolière, bien que peu nombreux, sont vraiment intéressants et promettent un univers hors du commun.
Par contre, une fois l’aventure du jeune Nailer lancée, tout se déroule sans grandes surprises. L’intrigue est assez convenue et le contexte original s’estompe pour laisser place à une traque banale et à l’éclosion d’une amitié entre nos deux héros. Ce roman est clairement destiné à de jeunes ados, avec ses personnages au vocabulaire très vulgaire et argotique. Si ce n’est l’univers esquissé, rien ne m’a particulièrement emballée. Le livre se lit facilement et rien n’est vraiment mauvais, mais l’histoire ne surprend pas et ne restera certainement pas dans ma mémoire.
Peut-être laisserai-je tout de même sa chance au deuxième tome, Les cités englouties, qui approfondit l’univers de ce roman avec des nouveaux personnages et de nouveaux enjeux. Le résumé est alléchant, mais la peur d’être encore déçue risque de me retenir…