Fernand Léger. Paysages de banlieue 1945-1955
Par :Formats :
Actuellement indisponible
Cet article est actuellement indisponible, il ne peut pas être commandé sur notre site pour le moment. Nous vous invitons à vous inscrire à l'alerte disponibilité, vous recevrez un e-mail dès que cet ouvrage sera à nouveau disponible.
- Nombre de pages72
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.23 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 0,5 cm
- ISBN978-2-35404-069-7
- EAN9782354040697
- Date de parution25/06/2020
- ÉditeurCoédition Illustria/Musée des Be...
- PréfacierCaroline Joubert
Résumé
Fernand Léger hérite de l´impressionnisme un thème qui devient récurrent dans son oeuvre à partir de la fin des années 1940 ? : la représentation des banlieues en cours d´industrialisation. Rentré des Etats-Unis en 1946 et installé à partir de 1952 à Gif-sur-Yvette, Léger peint dans la dernière décennie de sa carrière la ceinture qui enserre Paris, là où s´implantent les grands établissements industriels qui transforment peu à peu les campagnes en communes-dortoirs prolétariennes.
Il adopte alors un style bien éloigné du staccato qui caractérise ses tableaux fortement architecturés des années 1910-1920. Dans une composition aérée, le décor rassemble des éléments d´une nature désolée et d´autres rappelant la ville proche, réservoirs à gaz, voies de communication, poteaux télégraphiques, etc. La banlieue peinte par Léger est celle que décrit Cendrars dans La Banlieue de Paris (publié en 1949) et que photographie à la même époque Robert Doisneau, Willy Ronis et Sabine Weiss.
Il adopte alors un style bien éloigné du staccato qui caractérise ses tableaux fortement architecturés des années 1910-1920. Dans une composition aérée, le décor rassemble des éléments d´une nature désolée et d´autres rappelant la ville proche, réservoirs à gaz, voies de communication, poteaux télégraphiques, etc. La banlieue peinte par Léger est celle que décrit Cendrars dans La Banlieue de Paris (publié en 1949) et que photographie à la même époque Robert Doisneau, Willy Ronis et Sabine Weiss.
Fernand Léger hérite de l´impressionnisme un thème qui devient récurrent dans son oeuvre à partir de la fin des années 1940 ? : la représentation des banlieues en cours d´industrialisation. Rentré des Etats-Unis en 1946 et installé à partir de 1952 à Gif-sur-Yvette, Léger peint dans la dernière décennie de sa carrière la ceinture qui enserre Paris, là où s´implantent les grands établissements industriels qui transforment peu à peu les campagnes en communes-dortoirs prolétariennes.
Il adopte alors un style bien éloigné du staccato qui caractérise ses tableaux fortement architecturés des années 1910-1920. Dans une composition aérée, le décor rassemble des éléments d´une nature désolée et d´autres rappelant la ville proche, réservoirs à gaz, voies de communication, poteaux télégraphiques, etc. La banlieue peinte par Léger est celle que décrit Cendrars dans La Banlieue de Paris (publié en 1949) et que photographie à la même époque Robert Doisneau, Willy Ronis et Sabine Weiss.
Il adopte alors un style bien éloigné du staccato qui caractérise ses tableaux fortement architecturés des années 1910-1920. Dans une composition aérée, le décor rassemble des éléments d´une nature désolée et d´autres rappelant la ville proche, réservoirs à gaz, voies de communication, poteaux télégraphiques, etc. La banlieue peinte par Léger est celle que décrit Cendrars dans La Banlieue de Paris (publié en 1949) et que photographie à la même époque Robert Doisneau, Willy Ronis et Sabine Weiss.