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Ferdinandéa, l'île éphémère
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- ISBN978-2-36511-456-1
- EAN9782365114561
- Date de parution13/11/2025
- CollectionBEAUX LIVRES
- ÉditeurXavier Barral
Résumé
Fondée sur une enquête historique et une projection spéculative, Ferdinandea raconte l'émergence et la disparition de l'île volcanique dans une installation multimédia rassemblant films 16 mm, vidéos, simulations 3D, documents historiques et photographies. Fin juin 1831, les habitants de Kélibia, sur la côte tunisienne, et ceux de Sciacca, petite ville du sud-ouest de la Sicile, sont témoins de signes alarmants.
Une première secousse sismique fait sombrer de nombreux bateaux qui voguent dans la zone. L'atmosphère est envahie par des vapeurs de soufre, l'argenterie prend l'apparence du cuivre et les murs blanchis à la chaux des villages et des églises se teintent d'ocre. Un volcan sous-marin, situé entre la Sicile, la Tunisie et la Libye, vient d'entrer en éruption, donnant naissance à une petite île aride et faite de cendres.
L'île éphémère reçoit de nombreux noms : " Ile Julia " en France, " Graham " en Angleterre et, dans le Royaume des Deux- Siciles, elle prend le nom du monarque régnant, Ferdinand II de Bourbon. Très vite Ferdinandea attire l'attention du monde tant scientifique que politique - les puissances européennes entendent revendiquer sa position stratégique. Aujourd'hui, Ferdinandea dort à huit mètres sous les vagues, au carrefour de l'Europe et du monde arabe.
Mais elle pourrait à tout moment refaire surface suite à une nouvelle activité sismique, déclenchant alors d'autres manoeuvres géopolitiques. L'île offre un terrain d'expérimentation scientifique et esthétique à l'artiste Clément Cogitore. Vidéaste, plasticien, conteur et cinéaste, Cogitore se saisit de ce phénomène historique et géologique pour en faire le point de départ d'une fiction expérimentale.
Fondée sur une enquête historique et une projection spéculative, Ferdinandea raconte l'émergence et la disparition de l'île volcanique dans une installation multimédia rassemblant films 16 mm, vidéos, simulations 3D, documents historiques et photographies. L'oeuvre sera présentée au Mucem cet automne, accompagnée d'une publication conçue en étroite collaboration avec l'artiste : les trois récits filmiques sont restitués au fil des pages sur des papiers de création de grammages variés afin d'immerger de manière sensible le lecteur dans l'univers de l'artiste.
Vues de plongées sous-marines, documents d'archives, nuages de scories, voix multiples des bandes sonores, l'ouvrage invite à un voyage onirique et métaphorique. Conçu comme un livre d'artiste, Ferdinandea déploie le récit d'une utopie/dystopie. Dans ce voyage dystopique, Clément Cogitore a convié l'écrivain Tristan Garcia à écrire une nouvelle inédite sur l'île. Placée au coeur de l'ouvrage, celle-ci vient souligner le caractère hybride de l'oeuvre.
Un appareil scientifique avec des essais signés par les commissaires d'exposition aborde sous différents prismes l'oeuvre singulière d'un artiste majeur de la scène contemporaine.
Une première secousse sismique fait sombrer de nombreux bateaux qui voguent dans la zone. L'atmosphère est envahie par des vapeurs de soufre, l'argenterie prend l'apparence du cuivre et les murs blanchis à la chaux des villages et des églises se teintent d'ocre. Un volcan sous-marin, situé entre la Sicile, la Tunisie et la Libye, vient d'entrer en éruption, donnant naissance à une petite île aride et faite de cendres.
L'île éphémère reçoit de nombreux noms : " Ile Julia " en France, " Graham " en Angleterre et, dans le Royaume des Deux- Siciles, elle prend le nom du monarque régnant, Ferdinand II de Bourbon. Très vite Ferdinandea attire l'attention du monde tant scientifique que politique - les puissances européennes entendent revendiquer sa position stratégique. Aujourd'hui, Ferdinandea dort à huit mètres sous les vagues, au carrefour de l'Europe et du monde arabe.
Mais elle pourrait à tout moment refaire surface suite à une nouvelle activité sismique, déclenchant alors d'autres manoeuvres géopolitiques. L'île offre un terrain d'expérimentation scientifique et esthétique à l'artiste Clément Cogitore. Vidéaste, plasticien, conteur et cinéaste, Cogitore se saisit de ce phénomène historique et géologique pour en faire le point de départ d'une fiction expérimentale.
Fondée sur une enquête historique et une projection spéculative, Ferdinandea raconte l'émergence et la disparition de l'île volcanique dans une installation multimédia rassemblant films 16 mm, vidéos, simulations 3D, documents historiques et photographies. L'oeuvre sera présentée au Mucem cet automne, accompagnée d'une publication conçue en étroite collaboration avec l'artiste : les trois récits filmiques sont restitués au fil des pages sur des papiers de création de grammages variés afin d'immerger de manière sensible le lecteur dans l'univers de l'artiste.
Vues de plongées sous-marines, documents d'archives, nuages de scories, voix multiples des bandes sonores, l'ouvrage invite à un voyage onirique et métaphorique. Conçu comme un livre d'artiste, Ferdinandea déploie le récit d'une utopie/dystopie. Dans ce voyage dystopique, Clément Cogitore a convié l'écrivain Tristan Garcia à écrire une nouvelle inédite sur l'île. Placée au coeur de l'ouvrage, celle-ci vient souligner le caractère hybride de l'oeuvre.
Un appareil scientifique avec des essais signés par les commissaires d'exposition aborde sous différents prismes l'oeuvre singulière d'un artiste majeur de la scène contemporaine.
Fondée sur une enquête historique et une projection spéculative, Ferdinandea raconte l'émergence et la disparition de l'île volcanique dans une installation multimédia rassemblant films 16 mm, vidéos, simulations 3D, documents historiques et photographies. Fin juin 1831, les habitants de Kélibia, sur la côte tunisienne, et ceux de Sciacca, petite ville du sud-ouest de la Sicile, sont témoins de signes alarmants.
Une première secousse sismique fait sombrer de nombreux bateaux qui voguent dans la zone. L'atmosphère est envahie par des vapeurs de soufre, l'argenterie prend l'apparence du cuivre et les murs blanchis à la chaux des villages et des églises se teintent d'ocre. Un volcan sous-marin, situé entre la Sicile, la Tunisie et la Libye, vient d'entrer en éruption, donnant naissance à une petite île aride et faite de cendres.
L'île éphémère reçoit de nombreux noms : " Ile Julia " en France, " Graham " en Angleterre et, dans le Royaume des Deux- Siciles, elle prend le nom du monarque régnant, Ferdinand II de Bourbon. Très vite Ferdinandea attire l'attention du monde tant scientifique que politique - les puissances européennes entendent revendiquer sa position stratégique. Aujourd'hui, Ferdinandea dort à huit mètres sous les vagues, au carrefour de l'Europe et du monde arabe.
Mais elle pourrait à tout moment refaire surface suite à une nouvelle activité sismique, déclenchant alors d'autres manoeuvres géopolitiques. L'île offre un terrain d'expérimentation scientifique et esthétique à l'artiste Clément Cogitore. Vidéaste, plasticien, conteur et cinéaste, Cogitore se saisit de ce phénomène historique et géologique pour en faire le point de départ d'une fiction expérimentale.
Fondée sur une enquête historique et une projection spéculative, Ferdinandea raconte l'émergence et la disparition de l'île volcanique dans une installation multimédia rassemblant films 16 mm, vidéos, simulations 3D, documents historiques et photographies. L'oeuvre sera présentée au Mucem cet automne, accompagnée d'une publication conçue en étroite collaboration avec l'artiste : les trois récits filmiques sont restitués au fil des pages sur des papiers de création de grammages variés afin d'immerger de manière sensible le lecteur dans l'univers de l'artiste.
Vues de plongées sous-marines, documents d'archives, nuages de scories, voix multiples des bandes sonores, l'ouvrage invite à un voyage onirique et métaphorique. Conçu comme un livre d'artiste, Ferdinandea déploie le récit d'une utopie/dystopie. Dans ce voyage dystopique, Clément Cogitore a convié l'écrivain Tristan Garcia à écrire une nouvelle inédite sur l'île. Placée au coeur de l'ouvrage, celle-ci vient souligner le caractère hybride de l'oeuvre.
Un appareil scientifique avec des essais signés par les commissaires d'exposition aborde sous différents prismes l'oeuvre singulière d'un artiste majeur de la scène contemporaine.
Une première secousse sismique fait sombrer de nombreux bateaux qui voguent dans la zone. L'atmosphère est envahie par des vapeurs de soufre, l'argenterie prend l'apparence du cuivre et les murs blanchis à la chaux des villages et des églises se teintent d'ocre. Un volcan sous-marin, situé entre la Sicile, la Tunisie et la Libye, vient d'entrer en éruption, donnant naissance à une petite île aride et faite de cendres.
L'île éphémère reçoit de nombreux noms : " Ile Julia " en France, " Graham " en Angleterre et, dans le Royaume des Deux- Siciles, elle prend le nom du monarque régnant, Ferdinand II de Bourbon. Très vite Ferdinandea attire l'attention du monde tant scientifique que politique - les puissances européennes entendent revendiquer sa position stratégique. Aujourd'hui, Ferdinandea dort à huit mètres sous les vagues, au carrefour de l'Europe et du monde arabe.
Mais elle pourrait à tout moment refaire surface suite à une nouvelle activité sismique, déclenchant alors d'autres manoeuvres géopolitiques. L'île offre un terrain d'expérimentation scientifique et esthétique à l'artiste Clément Cogitore. Vidéaste, plasticien, conteur et cinéaste, Cogitore se saisit de ce phénomène historique et géologique pour en faire le point de départ d'une fiction expérimentale.
Fondée sur une enquête historique et une projection spéculative, Ferdinandea raconte l'émergence et la disparition de l'île volcanique dans une installation multimédia rassemblant films 16 mm, vidéos, simulations 3D, documents historiques et photographies. L'oeuvre sera présentée au Mucem cet automne, accompagnée d'une publication conçue en étroite collaboration avec l'artiste : les trois récits filmiques sont restitués au fil des pages sur des papiers de création de grammages variés afin d'immerger de manière sensible le lecteur dans l'univers de l'artiste.
Vues de plongées sous-marines, documents d'archives, nuages de scories, voix multiples des bandes sonores, l'ouvrage invite à un voyage onirique et métaphorique. Conçu comme un livre d'artiste, Ferdinandea déploie le récit d'une utopie/dystopie. Dans ce voyage dystopique, Clément Cogitore a convié l'écrivain Tristan Garcia à écrire une nouvelle inédite sur l'île. Placée au coeur de l'ouvrage, celle-ci vient souligner le caractère hybride de l'oeuvre.
Un appareil scientifique avec des essais signés par les commissaires d'exposition aborde sous différents prismes l'oeuvre singulière d'un artiste majeur de la scène contemporaine.