Pascal Rabaté naît en 1961. Il étudie la gravure aux Beaux-Arts d'Angers, puis exerce différents métiers avant de se lancer en bande dessinée. Ses premiers livres paraissent en 1989 chez Futuropolis. Dix années et autant de livres plus tard, il signe le premier tome d'Ibicus, l'adaptation expressionniste et magistrale d'un roman d'Alexeï Tolstoï. Les quatre volumes qui la composent connaissent un succès public et critique retentissant (Alph-Art du meilleur album à Angoulême en 2000, notamment). Des "Pieds dedans" aux "Petits Ruisseaux" en passant par "Un ver dans le fruit", Rabaté est aussi le conteur singulier de la France profonde. S'il vit toujours à Angers, il brille pourtant par sa capacité à n'être jamais là où on l'attend. Son adaptation de "Harry est fou" en est une nouvelle preuve.
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- Nombre de pages40
- PrésentationRelié
- FormatAlbum
- Poids0.635 kg
- Dimensions20,2 cm × 28,5 cm × 1,6 cm
- ISBN978-2-302-03063-3
- EAN9782302030633
- Date de parution21/08/2013
- CollectionNoctambule
- ÉditeurSoleil
Résumé
Trois coups retentissent... Une pièce sans paroles en dix matinées, dix soirées et un décor... Le rideau se lève sur un petit théâtre de papier, brillant hommage ludique et insolite au film d’Alfred Hitchcock, Fenêtre sur cour. Si une fenêtre est une ouverture qui permet d’assurer l’aération et la lumière... elle permet aussi d’assurer la vue… vue sur d’autres fenêtres derrière lesquelles se déroulent des histoires de couples, des histoires d’amour, de séparation, de tromperie, et pourquoi pas des histoires de meurtre.
C’est un travail à plein temps de regarder à la fenêtre, de surveiller, de guetter... D’ailleurs, retournons-y... il ne faudrait pas rater quelque chose…
C’est un travail à plein temps de regarder à la fenêtre, de surveiller, de guetter... D’ailleurs, retournons-y... il ne faudrait pas rater quelque chose…
Trois coups retentissent... Une pièce sans paroles en dix matinées, dix soirées et un décor... Le rideau se lève sur un petit théâtre de papier, brillant hommage ludique et insolite au film d’Alfred Hitchcock, Fenêtre sur cour. Si une fenêtre est une ouverture qui permet d’assurer l’aération et la lumière... elle permet aussi d’assurer la vue… vue sur d’autres fenêtres derrière lesquelles se déroulent des histoires de couples, des histoires d’amour, de séparation, de tromperie, et pourquoi pas des histoires de meurtre.
C’est un travail à plein temps de regarder à la fenêtre, de surveiller, de guetter... D’ailleurs, retournons-y... il ne faudrait pas rater quelque chose…
C’est un travail à plein temps de regarder à la fenêtre, de surveiller, de guetter... D’ailleurs, retournons-y... il ne faudrait pas rater quelque chose…
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