Femmes en chemin avec les peuples de l'Equateur et du Nicaragua. Des religieuses françaises en Amérique latine

Par : Chantal Gourdon, Marie-Thérèse Grimault, Jacqueline Louvigné

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  • Nombre de pages276
  • PrésentationBroché
  • Poids0.51 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 2,2 cm
  • ISBN978-2-8111-1609-5
  • EAN9782811116095
  • Date de parution01/03/2016
  • CollectionSignes des Temps
  • ÉditeurKarthala
  • PréfacierColette Belleannée

Résumé

En 1972, un évêque équatorien, Mgr Mario Ruiz, écrivait à la congrégation des Soeurs de Saint-Charles d’Angers. Il leur demandait l’envoi de Soeurs pour son diocèse, situé dans la partie andine de l’Équateur. Sur quels chemins, la réponse positive qui fut donnée allait-elle entraîner la famille de Saint-Charles et en particulier Jacqueline et Marie-Thérèse, deux des trois auteurs de ce livre ? Elles embarquèrent en 1974 à Nice et furent suivies en 1981 par deux autres soeurs, Chantal et Eliane qui, elles, rejoignirent le Nicaragua.
Sollicitées par leurs amis, chacune de ces deux petites fraternités, d’une famille religieuse jusque-là implantée essentiellement en France et depuis 1954 au Sénégal, publièrent à compte d’auteur en 2007 deux livres rapidement épuisés : Femmes en chemin avec le Peuple des Andes : Chroniques de 28 ans en Equateur et Qui es-tu, Ô Nicaragua ? Jusqu’à aujourd’hui, la collection Signes des Temps a principalement publié des parcours de prêtres français appelés Fidei donum, partis en Amérique latine, souvent à vie et sans esprit de retour.
Regards masculins sur des pays qui ont connu la rudesse de conditions non seulement économiques, mais aussi politiques, y compris les terribles conflits internes entre guérilleros et dictature militaire. Aujourd’hui, Signes des Temps se fait un devoir de rééditer en un seul volume les deux témoignages des soeurs de Saint-Charles. Déjà pour l’honneur de ces femmes qui ont vécu dans des conditions matérielles difficiles à imaginer de France, mais qui se sont aussi trouvées prises au coeur des mêlées politiques des pays et des populations qu’elles avaient épousées, au risque de leur propre vie.
Ensuite parce que, à les lire, il apparaît que le regard féminin complète d’une manière très heureuse et en même temps corrobore et enrichit celui des prêtres déjà édités. En 2015, la congrégation des Soeurs de Saint-Charles d’Angers s’est unie à trois autres congrégations pour former aujourd’hui la Congrégation des Soeurs missionnaires de l’Evangile.
En 1972, un évêque équatorien, Mgr Mario Ruiz, écrivait à la congrégation des Soeurs de Saint-Charles d’Angers. Il leur demandait l’envoi de Soeurs pour son diocèse, situé dans la partie andine de l’Équateur. Sur quels chemins, la réponse positive qui fut donnée allait-elle entraîner la famille de Saint-Charles et en particulier Jacqueline et Marie-Thérèse, deux des trois auteurs de ce livre ? Elles embarquèrent en 1974 à Nice et furent suivies en 1981 par deux autres soeurs, Chantal et Eliane qui, elles, rejoignirent le Nicaragua.
Sollicitées par leurs amis, chacune de ces deux petites fraternités, d’une famille religieuse jusque-là implantée essentiellement en France et depuis 1954 au Sénégal, publièrent à compte d’auteur en 2007 deux livres rapidement épuisés : Femmes en chemin avec le Peuple des Andes : Chroniques de 28 ans en Equateur et Qui es-tu, Ô Nicaragua ? Jusqu’à aujourd’hui, la collection Signes des Temps a principalement publié des parcours de prêtres français appelés Fidei donum, partis en Amérique latine, souvent à vie et sans esprit de retour.
Regards masculins sur des pays qui ont connu la rudesse de conditions non seulement économiques, mais aussi politiques, y compris les terribles conflits internes entre guérilleros et dictature militaire. Aujourd’hui, Signes des Temps se fait un devoir de rééditer en un seul volume les deux témoignages des soeurs de Saint-Charles. Déjà pour l’honneur de ces femmes qui ont vécu dans des conditions matérielles difficiles à imaginer de France, mais qui se sont aussi trouvées prises au coeur des mêlées politiques des pays et des populations qu’elles avaient épousées, au risque de leur propre vie.
Ensuite parce que, à les lire, il apparaît que le regard féminin complète d’une manière très heureuse et en même temps corrobore et enrichit celui des prêtres déjà édités. En 2015, la congrégation des Soeurs de Saint-Charles d’Angers s’est unie à trois autres congrégations pour former aujourd’hui la Congrégation des Soeurs missionnaires de l’Evangile.