Faut - il sauver l'ours blanc ?. Essai sur la transformation de la nature
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- Nombre de pages250
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.254 kg
- Dimensions12,5 cm × 19,0 cm × 1,9 cm
- ISBN978-2-13-082973-7
- EAN9782130829737
- Date de parution12/04/2023
- ÉditeurPUF
Résumé
De nos jours, il est beaucoup question de protéger la nature (le vivant, les animaux sauvages, la biodiversité, les écosystèmes, etc.). Pourtant, dans les espaces naturels, les animaux souffrent très souvent de faim, de soif, du froid, de la chaleur, de parasites, de blessures, de maladies... quand ils ne se font pas dévorer par des prédateurs. Aussi Thomas Lepeltier critique-t-il cette volonté de sanctuariser la nature et avance qu'il faudrait plutôt la transformer pour le bien-être des animaux, à l'instar de ce que l'on fait pour les humains.
Contre une écologie qui voudrait préserver la nature des activités humaines, Thomas Lepeltier défend une démarche éthique qui nous conduit à y intervenir pour la modifier. De la même manière que l'on vient en aide à des humains en souffrance, il n'y a aucune raison, si on en a les moyens, de ne pas assister les animaux sauvages quand ils souffrent et que cette intervention leur est globalement bénéfique.
Suivant la même logique, il nous incombe donc de transformer leur espace de vie afin d'accroître leur bien-être. C'est une question fondamentale d'éthique. En somme, ce livre montre que, pour diminuer la souffrance sur Terre, il vaut mieux transformer la nature que la préserver telle qu'elle est.
Contre une écologie qui voudrait préserver la nature des activités humaines, Thomas Lepeltier défend une démarche éthique qui nous conduit à y intervenir pour la modifier. De la même manière que l'on vient en aide à des humains en souffrance, il n'y a aucune raison, si on en a les moyens, de ne pas assister les animaux sauvages quand ils souffrent et que cette intervention leur est globalement bénéfique.
Suivant la même logique, il nous incombe donc de transformer leur espace de vie afin d'accroître leur bien-être. C'est une question fondamentale d'éthique. En somme, ce livre montre que, pour diminuer la souffrance sur Terre, il vaut mieux transformer la nature que la préserver telle qu'elle est.
De nos jours, il est beaucoup question de protéger la nature (le vivant, les animaux sauvages, la biodiversité, les écosystèmes, etc.). Pourtant, dans les espaces naturels, les animaux souffrent très souvent de faim, de soif, du froid, de la chaleur, de parasites, de blessures, de maladies... quand ils ne se font pas dévorer par des prédateurs. Aussi Thomas Lepeltier critique-t-il cette volonté de sanctuariser la nature et avance qu'il faudrait plutôt la transformer pour le bien-être des animaux, à l'instar de ce que l'on fait pour les humains.
Contre une écologie qui voudrait préserver la nature des activités humaines, Thomas Lepeltier défend une démarche éthique qui nous conduit à y intervenir pour la modifier. De la même manière que l'on vient en aide à des humains en souffrance, il n'y a aucune raison, si on en a les moyens, de ne pas assister les animaux sauvages quand ils souffrent et que cette intervention leur est globalement bénéfique.
Suivant la même logique, il nous incombe donc de transformer leur espace de vie afin d'accroître leur bien-être. C'est une question fondamentale d'éthique. En somme, ce livre montre que, pour diminuer la souffrance sur Terre, il vaut mieux transformer la nature que la préserver telle qu'elle est.
Contre une écologie qui voudrait préserver la nature des activités humaines, Thomas Lepeltier défend une démarche éthique qui nous conduit à y intervenir pour la modifier. De la même manière que l'on vient en aide à des humains en souffrance, il n'y a aucune raison, si on en a les moyens, de ne pas assister les animaux sauvages quand ils souffrent et que cette intervention leur est globalement bénéfique.
Suivant la même logique, il nous incombe donc de transformer leur espace de vie afin d'accroître leur bien-être. C'est une question fondamentale d'éthique. En somme, ce livre montre que, pour diminuer la souffrance sur Terre, il vaut mieux transformer la nature que la préserver telle qu'elle est.













