De 1920 à 1945, la vie du prince Ferdinando Licata, aristocrate sicilien devenu « le padri », chef d'une société mafieuse américano-sicilienne.
J'ai eu du mal à lâcher le livre, au début, alors même que je le trouvais plutôt mauvais : le dialogue est souvent guindé et peu naturel (bien que ça puisse venir du traducteur plutôt que de l'auteur), la construction est confuse, certains personnages sont stéréotypés jusqu’à l’absurde.
Puis je me suis rendue compte que le roman me rappelait les romans-feuilletons du XIXe siècle, comme Les Mystères de Paris d’Eugène Sue, notamment dans les événements grand-guignolesques qui émaillent la fin. (Rendons à César ce qui est à César, l'auteur n’a pas inventé l’alliance entre le gouvernement américain et la mafia sicilienne lors du Débarquement de Sicile ; elle a réellement existé.)
Objectivement pas très bon, et si le début se laisse lire, la fin est une déception.
De 1920 à 1945, la vie du prince Ferdinando Licata, aristocrate sicilien devenu « le padri », chef d'une société mafieuse américano-sicilienne.
J'ai eu du mal à lâcher le livre, au début, alors même que je le trouvais plutôt mauvais : le dialogue est souvent guindé et peu naturel (bien que ça puisse venir du traducteur plutôt que de l'auteur), la construction est confuse, certains personnages sont stéréotypés jusqu’à l’absurde.
Puis je me suis rendue compte que le roman me rappelait les romans-feuilletons du XIXe siècle, comme Les Mystères de Paris d’Eugène Sue, notamment dans les événements grand-guignolesques qui émaillent la fin. (Rendons à César ce qui est à César, l'auteur n’a pas inventé l’alliance entre le gouvernement américain et la mafia sicilienne lors du Débarquement de Sicile ; elle a réellement existé.)
Objectivement pas très bon, et si le début se laisse lire, la fin est une déception.