Le théâtre du monde. Une histoire des masques
Grand Format
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Farces et attrapes
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- Nombre de pages206
- PrésentationBroché
- Poids0.276 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-36868-260-9
- EAN9782368682609
- Date de parution21/12/2015
- ÉditeurStellamaris
Résumé
Le théâtre, c'est de la vie sous une forme plus concentrée, plus courte, ramassée dans le temps et l'espace. Peter Brook (Le diable c'est l'ennui) Ce recueil propose quelques pièces , duos ou monologues qui ont jalonné un voyage de quatre décennies de scène. Ces pièces ont souvent été inspirées par des compagnies, des acteurs ou des actrices, qu'ils soient du théâtre ou du cirque. C'est donc une écriture qui bouge, aussi ces textes sont ouverts à toutes interprétations ; ils sont à disposition comme une matière humaine en mouvement.
Ces écritures aléatoires pour masques et clowns ne prétendent ni à la littérature ni à la postérité, elles ont l'ambition de susciter l'envie de jouer, d'écrire, d'interpeller le monde et de provoquer la création. Les oeuvres scèniques engagent l'art du vivant et le libre-arbitre opposés à toutes les aliénations. La farce est l'antidote de la bêtise.
Ces écritures aléatoires pour masques et clowns ne prétendent ni à la littérature ni à la postérité, elles ont l'ambition de susciter l'envie de jouer, d'écrire, d'interpeller le monde et de provoquer la création. Les oeuvres scèniques engagent l'art du vivant et le libre-arbitre opposés à toutes les aliénations. La farce est l'antidote de la bêtise.
Le théâtre, c'est de la vie sous une forme plus concentrée, plus courte, ramassée dans le temps et l'espace. Peter Brook (Le diable c'est l'ennui) Ce recueil propose quelques pièces , duos ou monologues qui ont jalonné un voyage de quatre décennies de scène. Ces pièces ont souvent été inspirées par des compagnies, des acteurs ou des actrices, qu'ils soient du théâtre ou du cirque. C'est donc une écriture qui bouge, aussi ces textes sont ouverts à toutes interprétations ; ils sont à disposition comme une matière humaine en mouvement.
Ces écritures aléatoires pour masques et clowns ne prétendent ni à la littérature ni à la postérité, elles ont l'ambition de susciter l'envie de jouer, d'écrire, d'interpeller le monde et de provoquer la création. Les oeuvres scèniques engagent l'art du vivant et le libre-arbitre opposés à toutes les aliénations. La farce est l'antidote de la bêtise.
Ces écritures aléatoires pour masques et clowns ne prétendent ni à la littérature ni à la postérité, elles ont l'ambition de susciter l'envie de jouer, d'écrire, d'interpeller le monde et de provoquer la création. Les oeuvres scèniques engagent l'art du vivant et le libre-arbitre opposés à toutes les aliénations. La farce est l'antidote de la bêtise.
