Dans ces trois nouvelles aux points de départ étranges, l'autrice d'Isidore et les autres déploie encore une fois son talent pour la demi-teinte, sa sensibilité, son goût pour les outsiders, pas vraiment perdants mais jamais gagnants. Camille Bordas avance ici en funambule sur la mince ligne de crête qui sépare le doux de l'amer, l'humour de la tristesse.
Dans ces trois nouvelles aux points de départ étranges, l'autrice d'Isidore et les autres déploie encore une fois son talent pour la demi-teinte, sa sensibilité, son goût pour les outsiders, pas vraiment perdants mais jamais gagnants. Camille Bordas avance ici en funambule sur la mince ligne de crête qui sépare le doux de l'amer, l'humour de la tristesse.