Né à La Chaux-de-Fonds (Suisse) le 1er septembre 1887, Blaise Cendrars, de son vrai nom Frédéric Louis Sauser parcourt le monde avant de s'installer à Paris. Mobilisé, il est grièvement blessé pendant l'offensive de Champagne. Reprenant sa vie errante, il se passionne pour le cinéma. Il continue à publier régulièrement jusqu'à sa mort à Paris le 21 janvier 1961.
Faire un prisonnier
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- Nombre de pages150
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.104 kg
- Dimensions10,8 cm × 17,8 cm × 0,7 cm
- ISBN978-2-07-044658-2
- EAN9782070446582
- Date de parution30/08/2012
- CollectionFolioplus classiques
- ÉditeurGallimard
Résumé
C’est en 1946 que Cendrars écrit le récit de sa guerre, celle de 14, qui lui a valu l’amputation de son bras, La main coupée. Pourtant, il avait commencé à rédiger ses souvenirs pendant la guerre même, un premier plan date de 1917. Mais il lui aura fallu laisser le temps accomplir son travail de mûrissement : le texte est très vivant, reconstitue des dialogues auxquels la distance temporelle permet l’humour et l’émotion, sans pathos.
Avoir un prisonnier, cela équivaut à rompre la routine, avec tout ce que cela suppose de burlesque.
Avoir un prisonnier, cela équivaut à rompre la routine, avec tout ce que cela suppose de burlesque.
C’est en 1946 que Cendrars écrit le récit de sa guerre, celle de 14, qui lui a valu l’amputation de son bras, La main coupée. Pourtant, il avait commencé à rédiger ses souvenirs pendant la guerre même, un premier plan date de 1917. Mais il lui aura fallu laisser le temps accomplir son travail de mûrissement : le texte est très vivant, reconstitue des dialogues auxquels la distance temporelle permet l’humour et l’émotion, sans pathos.
Avoir un prisonnier, cela équivaut à rompre la routine, avec tout ce que cela suppose de burlesque.
Avoir un prisonnier, cela équivaut à rompre la routine, avec tout ce que cela suppose de burlesque.