Faire faces. Le nouveau portrait photographique
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- Nombre de pages229
- PrésentationRelié
- Poids1.66 kg
- Dimensions25,0 cm × 29,0 cm × 3,0 cm
- ISBN2-7427-6416-X
- EAN9782742764167
- Date de parution25/10/2006
- ÉditeurActes Sud
Résumé
Ouvrage précurseur, Faire faces dresse pour la première fois un panorama éclectique et captivant des nouvelles tendances et pratiques du portrait en photographie. Son auteur, l'historien William A. Ewing, inventorie, recense et classifie de manière insolite les axes de recherche créative des principaux artistes contemporains qui sont engagés dans les problématiques de la représentation du visage humain.
Le visage, perçu depuis l'âge classique comme " fenêtre de l'âme ", est la matière même du portrait. La photographie, dès son avènement, installa l'illusoire mais féconde certitude que la ressemblance fidèle et objective étant enfin possible, l'ère de la vérité du portrait s'ouvrait... jusqu'à imaginer l'étrange concept d'une photographie dite "d'identité". Au cours du XXe siècle ces naïves croyances se sont révélées tenaces, mais une nouvelle génération d'artistes cherche à faire le portrait du visage en explorant d'autres voies.
Elle tient compte des modifications substantielles induites par le développement de la chirurgie esthétique et du génie génétique, par l'irruption des techniques nouvelles de manipulation et de traitement d'images pour proposer des stratégies inédites de représentation. Les recherches de ces artistes confirment l'émergence d'un visage homogénéisé et exagérément beau. Dans Faire faces, William A. Swing démontre qu'une vraie rupture s'est produite à l'aube du XXIe siècle avec le portrait traditionnel.
Comme l'affirme l'auteur : "Ces artistes remplacent la certitude par le doute, le fait par la fiction, l'instant décisif par le moment élastique, la réalité par l'" hyperréalité " et, ce faisant, ils questionnent les notions d'identité, d'universalité et d'expression esthétique [...] Les nouveaux visages que ces photographes présentent au monde sont parfois séduisants, parfois touchants, parfois effrayants, mais ils ne sont jamais moins que hypnotisants."
Le visage, perçu depuis l'âge classique comme " fenêtre de l'âme ", est la matière même du portrait. La photographie, dès son avènement, installa l'illusoire mais féconde certitude que la ressemblance fidèle et objective étant enfin possible, l'ère de la vérité du portrait s'ouvrait... jusqu'à imaginer l'étrange concept d'une photographie dite "d'identité". Au cours du XXe siècle ces naïves croyances se sont révélées tenaces, mais une nouvelle génération d'artistes cherche à faire le portrait du visage en explorant d'autres voies.
Elle tient compte des modifications substantielles induites par le développement de la chirurgie esthétique et du génie génétique, par l'irruption des techniques nouvelles de manipulation et de traitement d'images pour proposer des stratégies inédites de représentation. Les recherches de ces artistes confirment l'émergence d'un visage homogénéisé et exagérément beau. Dans Faire faces, William A. Swing démontre qu'une vraie rupture s'est produite à l'aube du XXIe siècle avec le portrait traditionnel.
Comme l'affirme l'auteur : "Ces artistes remplacent la certitude par le doute, le fait par la fiction, l'instant décisif par le moment élastique, la réalité par l'" hyperréalité " et, ce faisant, ils questionnent les notions d'identité, d'universalité et d'expression esthétique [...] Les nouveaux visages que ces photographes présentent au monde sont parfois séduisants, parfois touchants, parfois effrayants, mais ils ne sont jamais moins que hypnotisants."
Ouvrage précurseur, Faire faces dresse pour la première fois un panorama éclectique et captivant des nouvelles tendances et pratiques du portrait en photographie. Son auteur, l'historien William A. Ewing, inventorie, recense et classifie de manière insolite les axes de recherche créative des principaux artistes contemporains qui sont engagés dans les problématiques de la représentation du visage humain.
Le visage, perçu depuis l'âge classique comme " fenêtre de l'âme ", est la matière même du portrait. La photographie, dès son avènement, installa l'illusoire mais féconde certitude que la ressemblance fidèle et objective étant enfin possible, l'ère de la vérité du portrait s'ouvrait... jusqu'à imaginer l'étrange concept d'une photographie dite "d'identité". Au cours du XXe siècle ces naïves croyances se sont révélées tenaces, mais une nouvelle génération d'artistes cherche à faire le portrait du visage en explorant d'autres voies.
Elle tient compte des modifications substantielles induites par le développement de la chirurgie esthétique et du génie génétique, par l'irruption des techniques nouvelles de manipulation et de traitement d'images pour proposer des stratégies inédites de représentation. Les recherches de ces artistes confirment l'émergence d'un visage homogénéisé et exagérément beau. Dans Faire faces, William A. Swing démontre qu'une vraie rupture s'est produite à l'aube du XXIe siècle avec le portrait traditionnel.
Comme l'affirme l'auteur : "Ces artistes remplacent la certitude par le doute, le fait par la fiction, l'instant décisif par le moment élastique, la réalité par l'" hyperréalité " et, ce faisant, ils questionnent les notions d'identité, d'universalité et d'expression esthétique [...] Les nouveaux visages que ces photographes présentent au monde sont parfois séduisants, parfois touchants, parfois effrayants, mais ils ne sont jamais moins que hypnotisants."
Le visage, perçu depuis l'âge classique comme " fenêtre de l'âme ", est la matière même du portrait. La photographie, dès son avènement, installa l'illusoire mais féconde certitude que la ressemblance fidèle et objective étant enfin possible, l'ère de la vérité du portrait s'ouvrait... jusqu'à imaginer l'étrange concept d'une photographie dite "d'identité". Au cours du XXe siècle ces naïves croyances se sont révélées tenaces, mais une nouvelle génération d'artistes cherche à faire le portrait du visage en explorant d'autres voies.
Elle tient compte des modifications substantielles induites par le développement de la chirurgie esthétique et du génie génétique, par l'irruption des techniques nouvelles de manipulation et de traitement d'images pour proposer des stratégies inédites de représentation. Les recherches de ces artistes confirment l'émergence d'un visage homogénéisé et exagérément beau. Dans Faire faces, William A. Swing démontre qu'une vraie rupture s'est produite à l'aube du XXIe siècle avec le portrait traditionnel.
Comme l'affirme l'auteur : "Ces artistes remplacent la certitude par le doute, le fait par la fiction, l'instant décisif par le moment élastique, la réalité par l'" hyperréalité " et, ce faisant, ils questionnent les notions d'identité, d'universalité et d'expression esthétique [...] Les nouveaux visages que ces photographes présentent au monde sont parfois séduisants, parfois touchants, parfois effrayants, mais ils ne sont jamais moins que hypnotisants."