Faire du Sahel un pays de Cocagne. Le défi agro-écologique
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- Nombre de pages280
- PrésentationBroché
- Poids0.35 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-343-10252-8
- EAN9782343102528
- Date de parution01/11/2016
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
L'agronomie moderne est sollicitée pour répondre à deux questions majeures : "produire sans dégrader" et "développer sans exclure", auxquelles sa forme conventionnelle (la "révolution verte") n'a pas de réponse, particulièrement au Sahel. L'agro-écologie prétend en être l'alternative ; elle affiche en effet des résultats crédibles pour la suppression du labour, la disponibilité de bio-nutriments et de bio-pesticides, la lutte biologique contre certains ravageurs, et prouve les avantages de la biodiversité variétale.
On lui reconnaît également des mérites pour la qualité de l'alimentation. L'auteur soutient qu'elle pourrait y parvenir au Sahel, malgré les contraintes physiques que l'on sait (climat tropical subaride, sols pauvres) et sa croissance démographique sans précédent historique (la population multipliée par dix en un siècle, de 1950 à 2050). C'est le défi que sont prêts à relever de nombreux paysans et les agronomes qui travaillent auprès d'eux.
C'est l'objet de la première partie de l'ouvrage. Mais l'agro-écologie n'a émergé que dans les années 80 : l'expérience personnelle de l'auteur illustre les inerties intellectuelles et professionnelles à l'origine de ces lenteurs, ainsi que du besoin de concevoir des modèles institutionnels originaux pour l'innovation agricole, particulièrement dans le contexte des paysanneries déshéritées. C'est l'objet de la seconde partie.
On lui reconnaît également des mérites pour la qualité de l'alimentation. L'auteur soutient qu'elle pourrait y parvenir au Sahel, malgré les contraintes physiques que l'on sait (climat tropical subaride, sols pauvres) et sa croissance démographique sans précédent historique (la population multipliée par dix en un siècle, de 1950 à 2050). C'est le défi que sont prêts à relever de nombreux paysans et les agronomes qui travaillent auprès d'eux.
C'est l'objet de la première partie de l'ouvrage. Mais l'agro-écologie n'a émergé que dans les années 80 : l'expérience personnelle de l'auteur illustre les inerties intellectuelles et professionnelles à l'origine de ces lenteurs, ainsi que du besoin de concevoir des modèles institutionnels originaux pour l'innovation agricole, particulièrement dans le contexte des paysanneries déshéritées. C'est l'objet de la seconde partie.
L'agronomie moderne est sollicitée pour répondre à deux questions majeures : "produire sans dégrader" et "développer sans exclure", auxquelles sa forme conventionnelle (la "révolution verte") n'a pas de réponse, particulièrement au Sahel. L'agro-écologie prétend en être l'alternative ; elle affiche en effet des résultats crédibles pour la suppression du labour, la disponibilité de bio-nutriments et de bio-pesticides, la lutte biologique contre certains ravageurs, et prouve les avantages de la biodiversité variétale.
On lui reconnaît également des mérites pour la qualité de l'alimentation. L'auteur soutient qu'elle pourrait y parvenir au Sahel, malgré les contraintes physiques que l'on sait (climat tropical subaride, sols pauvres) et sa croissance démographique sans précédent historique (la population multipliée par dix en un siècle, de 1950 à 2050). C'est le défi que sont prêts à relever de nombreux paysans et les agronomes qui travaillent auprès d'eux.
C'est l'objet de la première partie de l'ouvrage. Mais l'agro-écologie n'a émergé que dans les années 80 : l'expérience personnelle de l'auteur illustre les inerties intellectuelles et professionnelles à l'origine de ces lenteurs, ainsi que du besoin de concevoir des modèles institutionnels originaux pour l'innovation agricole, particulièrement dans le contexte des paysanneries déshéritées. C'est l'objet de la seconde partie.
On lui reconnaît également des mérites pour la qualité de l'alimentation. L'auteur soutient qu'elle pourrait y parvenir au Sahel, malgré les contraintes physiques que l'on sait (climat tropical subaride, sols pauvres) et sa croissance démographique sans précédent historique (la population multipliée par dix en un siècle, de 1950 à 2050). C'est le défi que sont prêts à relever de nombreux paysans et les agronomes qui travaillent auprès d'eux.
C'est l'objet de la première partie de l'ouvrage. Mais l'agro-écologie n'a émergé que dans les années 80 : l'expérience personnelle de l'auteur illustre les inerties intellectuelles et professionnelles à l'origine de ces lenteurs, ainsi que du besoin de concevoir des modèles institutionnels originaux pour l'innovation agricole, particulièrement dans le contexte des paysanneries déshéritées. C'est l'objet de la seconde partie.