Max Weber (1864-1920), économiste allemand, père de la sociologie contemporaine. Né dans une riche famille de la bourgeoise protestante allemande, M. Weber entame des études en Droit et accède au poste de professeur d'Histoire de droit romain et de droit commercial à Berlin (1893) puis à Fribourg (1894). Souffrant de dépression nerveuse, il visite l'Italie et le sud de la France, et c'est à la suite de ce voyage qu'il réoriente ses recherches vers la sociologie dont il fonde en 1909, avec G. Tönnies et G. Simmel, la Société allemande de sociologie. Les années 1915-1919 sont pour Weber une grande période d'activité intellectuelle avec la publication de ses travaux sur la sociologie comparative des religions mondiales. Il meurt peu après avoir obtenu la première chaire de sociologie à Munich. Mal connue en France, la pensée wébérienne s'appuie le processus de rationalisation de la modernité occidentale par de nombreux exemples historiques.
Faire de la politique
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- Nombre de pages144
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.092 kg
- Dimensions11,0 cm × 17,0 cm × 0,9 cm
- ISBN978-2-228-93625-5
- EAN9782228936255
- Date de parution01/05/2024
- CollectionPetite Bibliothèque Payot
- ÉditeurPayot
- TraducteurOlivier Mannoni
Résumé
La politique est-elle une affaire de professionnels ? Faut-il vivre et mourir pour des idées ? Ce texte, l'un des plus importants de la pensée politique du XXe siècle, est consacré à la passion politique et au métier de politique. Weber y analyse les dangers de la politique professionnelle et le risque d'un retour à la violence. On y trouvera aussi la distinction célèbre entre l'éthique de la conviction et l'éthique de la responsabilité.
La conviction, c'est la passion, c'est croire que la politique concerne des idées pour lesquelles vous vivrez et mourrez ; et la responsabilité, c'est prendre les conséquences au sérieux, se demander ce qui se passera si l'on vit et si l'on meurt selon ces idées.
La conviction, c'est la passion, c'est croire que la politique concerne des idées pour lesquelles vous vivrez et mourrez ; et la responsabilité, c'est prendre les conséquences au sérieux, se demander ce qui se passera si l'on vit et si l'on meurt selon ces idées.
La politique est-elle une affaire de professionnels ? Faut-il vivre et mourir pour des idées ? Ce texte, l'un des plus importants de la pensée politique du XXe siècle, est consacré à la passion politique et au métier de politique. Weber y analyse les dangers de la politique professionnelle et le risque d'un retour à la violence. On y trouvera aussi la distinction célèbre entre l'éthique de la conviction et l'éthique de la responsabilité.
La conviction, c'est la passion, c'est croire que la politique concerne des idées pour lesquelles vous vivrez et mourrez ; et la responsabilité, c'est prendre les conséquences au sérieux, se demander ce qui se passera si l'on vit et si l'on meurt selon ces idées.
La conviction, c'est la passion, c'est croire que la politique concerne des idées pour lesquelles vous vivrez et mourrez ; et la responsabilité, c'est prendre les conséquences au sérieux, se demander ce qui se passera si l'on vit et si l'on meurt selon ces idées.