Prix Nobel de Littérature
Ezra Pound, sa métrique et sa poésie
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- Nombre de pages60
- PrésentationBroché
- Poids0.065 kg
- Dimensions11,5 cm × 17,0 cm × 0,6 cm
- ISBN978-2-916862-68-2
- EAN9782916862682
- Date de parution24/01/2015
- CollectionLa petite classique
- ÉditeurNerthe (Librairie La)
- TraducteurPhilippe Blanchon
Résumé
Paru en 1917, voilà sans doute un des textes les plus pertinents écrits par un contemporain de Pound. Ce n'est pas un hasard que T. S. Eliot en soit l'auteur. En effet, Eliot rend compte avec minutie du travail de Pound. Il reprend chronologiquement chacun des recueils parus, suivant l'évolution de son confrère pas à pas. Il montre, par la même occasion, les constantes poundiennes : souci métrique, obsession de la précision, volonté de ne jamais se répéter, érudition, constante attention à ce qui constitue le poème tant sémantiquement que rythmiquement, passion pour les poésies étrangères, essentiellement latines et chinoises.
Eliot rend justice, par une belle anticipation, à celui auquel il devra beaucoup, comme chacun sait. En mettant au second plan le rôle d'agitateur mené par Pound en ce début de siècle, il incite le lecteur à faire une lecture attentive de la poésie de Pound. Lorsqu'Eliot signe son texte critique, Pound vient de publier en revue ses trois premiers Cantos. Eliot suit donc l'évolution de son nouvel ami jusqu'à la genèse de l'ambition épique de Pound qui l'occupera sa vie durant.
Il prévient avec clairvoyance que ce travail, alors à ses prémisses, ne pourra être parfaitement saisi qu'avec une connaissance scrupuleuse de ce qui l'a précédé. Cet inédit est suivi d'une longue postface exposant dans le détail la situation des deux poètes en 1917 et plus généralement de la poésie anglo-américaine, et ce, depuis Londres.
Eliot rend justice, par une belle anticipation, à celui auquel il devra beaucoup, comme chacun sait. En mettant au second plan le rôle d'agitateur mené par Pound en ce début de siècle, il incite le lecteur à faire une lecture attentive de la poésie de Pound. Lorsqu'Eliot signe son texte critique, Pound vient de publier en revue ses trois premiers Cantos. Eliot suit donc l'évolution de son nouvel ami jusqu'à la genèse de l'ambition épique de Pound qui l'occupera sa vie durant.
Il prévient avec clairvoyance que ce travail, alors à ses prémisses, ne pourra être parfaitement saisi qu'avec une connaissance scrupuleuse de ce qui l'a précédé. Cet inédit est suivi d'une longue postface exposant dans le détail la situation des deux poètes en 1917 et plus généralement de la poésie anglo-américaine, et ce, depuis Londres.
Paru en 1917, voilà sans doute un des textes les plus pertinents écrits par un contemporain de Pound. Ce n'est pas un hasard que T. S. Eliot en soit l'auteur. En effet, Eliot rend compte avec minutie du travail de Pound. Il reprend chronologiquement chacun des recueils parus, suivant l'évolution de son confrère pas à pas. Il montre, par la même occasion, les constantes poundiennes : souci métrique, obsession de la précision, volonté de ne jamais se répéter, érudition, constante attention à ce qui constitue le poème tant sémantiquement que rythmiquement, passion pour les poésies étrangères, essentiellement latines et chinoises.
Eliot rend justice, par une belle anticipation, à celui auquel il devra beaucoup, comme chacun sait. En mettant au second plan le rôle d'agitateur mené par Pound en ce début de siècle, il incite le lecteur à faire une lecture attentive de la poésie de Pound. Lorsqu'Eliot signe son texte critique, Pound vient de publier en revue ses trois premiers Cantos. Eliot suit donc l'évolution de son nouvel ami jusqu'à la genèse de l'ambition épique de Pound qui l'occupera sa vie durant.
Il prévient avec clairvoyance que ce travail, alors à ses prémisses, ne pourra être parfaitement saisi qu'avec une connaissance scrupuleuse de ce qui l'a précédé. Cet inédit est suivi d'une longue postface exposant dans le détail la situation des deux poètes en 1917 et plus généralement de la poésie anglo-américaine, et ce, depuis Londres.
Eliot rend justice, par une belle anticipation, à celui auquel il devra beaucoup, comme chacun sait. En mettant au second plan le rôle d'agitateur mené par Pound en ce début de siècle, il incite le lecteur à faire une lecture attentive de la poésie de Pound. Lorsqu'Eliot signe son texte critique, Pound vient de publier en revue ses trois premiers Cantos. Eliot suit donc l'évolution de son nouvel ami jusqu'à la genèse de l'ambition épique de Pound qui l'occupera sa vie durant.
Il prévient avec clairvoyance que ce travail, alors à ses prémisses, ne pourra être parfaitement saisi qu'avec une connaissance scrupuleuse de ce qui l'a précédé. Cet inédit est suivi d'une longue postface exposant dans le détail la situation des deux poètes en 1917 et plus généralement de la poésie anglo-américaine, et ce, depuis Londres.