Jacqueline Guinot est sociologue, auteure, dans le cadre du collectif Adret, de cinq recueils d'entretiens dont Résister, Minuit 1997 ; Même si on pense que c'est foutu, L'Harmattan 2017 ; Nous, Migrants, L'Harmattan 2019. La féministe et journaliste Eugénie Niboyet, à laquelle elle a consacré un ouvrage avec sa soeur Marie-Eve Le Forestier, est sa trisaïeule.
Eugénie Niboyet, la voix des femmes. Femme de lettres, journaliste et féministe (1796-1883)
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- Nombre de pages275
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.482 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 1,7 cm
- ISBN978-2-37701-103-2
- EAN9782377011032
- Date de parution07/10/2021
- ÉditeurCoédition Hémisphères/Maisonneuv...
- PréfacierMathilde Larrère
Résumé
Figure incontournable duA féminisme, d'Eugénie Niboyet a traversé la turbulente histoire du xixe siècle, côtoyant Flora Tristan, George Sand, Marceline Desbordes-Valmore, Lamartine, Victor Hugo, Nadar. Militante infatigable, elle revendique pour la femme les droits de l'homme, chérissant néanmoins la dissemblance. A Paris, Saint-simonienne, elle côtoie la misère effrayante des faubourgs ; quarante-huitarde, elle est à l'avant-garde des combats du siècleA : pour l'éducation et le droit de vote des femmes, pour la réforme des prisons, pour l'abolition de la peine de mort et de l'esclavage.
Face aux inégalités sociales, elle invective : "A Riches, ouvrez vos coffres-fortA ! A " Sans fortune, elle vit de sa plume. Première traductrice de Dickens en France, elle publie de nombreux essais et romans et fonde pas moins de cinq journaux tels "Le Conseiller des femmes" et "La Voix des femmes" . Elle meurt à Paris en janvier 1883, à l'âge de 86 ans. Ses combats sont toujours d'actualité.
Face aux inégalités sociales, elle invective : "A Riches, ouvrez vos coffres-fortA ! A " Sans fortune, elle vit de sa plume. Première traductrice de Dickens en France, elle publie de nombreux essais et romans et fonde pas moins de cinq journaux tels "Le Conseiller des femmes" et "La Voix des femmes" . Elle meurt à Paris en janvier 1883, à l'âge de 86 ans. Ses combats sont toujours d'actualité.
Figure incontournable duA féminisme, d'Eugénie Niboyet a traversé la turbulente histoire du xixe siècle, côtoyant Flora Tristan, George Sand, Marceline Desbordes-Valmore, Lamartine, Victor Hugo, Nadar. Militante infatigable, elle revendique pour la femme les droits de l'homme, chérissant néanmoins la dissemblance. A Paris, Saint-simonienne, elle côtoie la misère effrayante des faubourgs ; quarante-huitarde, elle est à l'avant-garde des combats du siècleA : pour l'éducation et le droit de vote des femmes, pour la réforme des prisons, pour l'abolition de la peine de mort et de l'esclavage.
Face aux inégalités sociales, elle invective : "A Riches, ouvrez vos coffres-fortA ! A " Sans fortune, elle vit de sa plume. Première traductrice de Dickens en France, elle publie de nombreux essais et romans et fonde pas moins de cinq journaux tels "Le Conseiller des femmes" et "La Voix des femmes" . Elle meurt à Paris en janvier 1883, à l'âge de 86 ans. Ses combats sont toujours d'actualité.
Face aux inégalités sociales, elle invective : "A Riches, ouvrez vos coffres-fortA ! A " Sans fortune, elle vit de sa plume. Première traductrice de Dickens en France, elle publie de nombreux essais et romans et fonde pas moins de cinq journaux tels "Le Conseiller des femmes" et "La Voix des femmes" . Elle meurt à Paris en janvier 1883, à l'âge de 86 ans. Ses combats sont toujours d'actualité.