Eugene De Beauharnais. De Josephine A Napoleon
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- Nombre de pages454
- PrésentationBroché
- Poids0.625 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 3,8 cm
- ISBN2-262-02007-8
- EAN9782262020071
- Date de parution13/02/2003
- ÉditeurPerrin
Résumé
Si Napoléon adopta le fils de Joséphine et lui confia des tâches essentielles, ce ne fut pas par complaisance, mais parce qu'il trouva chez lui des qualités exceptionnelles : dignité, loyauté, désintéressement, fidélité. Né en 1781, ce brillant hussard, devenu colonel des chasseurs à cheval de la Garde, puis archichancelier de l'Empire et vice-roi d'Italie à vingt-trois ans, connut, des champs de bataille de Lombardie et d'Egypte aux derniers soubresauts de la campagne de France, une existence particulièrement dense. En la retraçant, Jean Autin fait revivre les derniers temps de l'Ancien Régime, les tourmentes révolutionnaires, les fastes du Consulat et de l'Empire, les démêlés avec le Saint-Siège, la vie à Vienne après Wagram et le terrible séjour dans Moscou en flammes avant l'abominable retraite de Russie dans le froid glacial et sous le harcèlement des cosaques. Marié en 1806 à la splendide et ardente Auguste-Amélie de Wittelsbach, le prince Eugène se retira, après les adieux de Fontainebleau, à Munich, où se trouve son tombeau. Il semblerait que Napoléon considérait son fils adoptif, si Marie-Louise ne lui avait pas donné d'héritier, comme son possible successeur.
Si Napoléon adopta le fils de Joséphine et lui confia des tâches essentielles, ce ne fut pas par complaisance, mais parce qu'il trouva chez lui des qualités exceptionnelles : dignité, loyauté, désintéressement, fidélité. Né en 1781, ce brillant hussard, devenu colonel des chasseurs à cheval de la Garde, puis archichancelier de l'Empire et vice-roi d'Italie à vingt-trois ans, connut, des champs de bataille de Lombardie et d'Egypte aux derniers soubresauts de la campagne de France, une existence particulièrement dense. En la retraçant, Jean Autin fait revivre les derniers temps de l'Ancien Régime, les tourmentes révolutionnaires, les fastes du Consulat et de l'Empire, les démêlés avec le Saint-Siège, la vie à Vienne après Wagram et le terrible séjour dans Moscou en flammes avant l'abominable retraite de Russie dans le froid glacial et sous le harcèlement des cosaques. Marié en 1806 à la splendide et ardente Auguste-Amélie de Wittelsbach, le prince Eugène se retira, après les adieux de Fontainebleau, à Munich, où se trouve son tombeau. Il semblerait que Napoléon considérait son fils adoptif, si Marie-Louise ne lui avait pas donné d'héritier, comme son possible successeur.