Etienne Viard. Poésie de l'instabilité
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- Nombre de pages224
- PrésentationRelié
- FormatGrand Format
- Poids1.562 kg
- Dimensions24,9 cm × 29,8 cm × 2,6 cm
- ISBN978-2-87844-335-6
- EAN9782878443356
- Date de parution15/03/2024
- ÉditeurFaton
- TraducteurNathalie Huet
- TraducteurJonathan Michaelson
- TraducteurDavid Michaelson
Résumé
D'abord formé comme céramiste, Etienne Viard élabore ses oeuvres à partir d'un matériau plus dur, plus résistant : l'acier. Il travaille la tension du métal jusqu'à sa limite. Les formes sont ensuite assemblées dans des compositions toujours plus audacieuses, comme un défi aux lois de la gravitation. S'appuyant auparavant sur des dessins préparatoires, il imagine ses sculptures à partir de maquettes, pour mieux appréhender la place et l'équilibre de ses oeuvres dans l'espace.
"Ma sculpture s'élabore sur ces morceaux d'impatience que je cherche à sauvegarder le plus intensément sans statufier ce premier jet". Car si les oeuvres refusent de se plier aux lois connues de la physique, elles ne sont pas pour autant figées mais sont l'évocation perpétuelle d'un basculement. L'illusion de cet équilibre est minutieusement étudiée : "Le lien vient d'une articulation qui ne se voit pas, d'une soudure que je veux discrète et qui retient l'ensemble".
La force des créations d'Etienne Viard, qui questionnent notre sens de l'observation et nient notre empirisme, est de retarder indéfiniment l'instant de la chute.
"Ma sculpture s'élabore sur ces morceaux d'impatience que je cherche à sauvegarder le plus intensément sans statufier ce premier jet". Car si les oeuvres refusent de se plier aux lois connues de la physique, elles ne sont pas pour autant figées mais sont l'évocation perpétuelle d'un basculement. L'illusion de cet équilibre est minutieusement étudiée : "Le lien vient d'une articulation qui ne se voit pas, d'une soudure que je veux discrète et qui retient l'ensemble".
La force des créations d'Etienne Viard, qui questionnent notre sens de l'observation et nient notre empirisme, est de retarder indéfiniment l'instant de la chute.
D'abord formé comme céramiste, Etienne Viard élabore ses oeuvres à partir d'un matériau plus dur, plus résistant : l'acier. Il travaille la tension du métal jusqu'à sa limite. Les formes sont ensuite assemblées dans des compositions toujours plus audacieuses, comme un défi aux lois de la gravitation. S'appuyant auparavant sur des dessins préparatoires, il imagine ses sculptures à partir de maquettes, pour mieux appréhender la place et l'équilibre de ses oeuvres dans l'espace.
"Ma sculpture s'élabore sur ces morceaux d'impatience que je cherche à sauvegarder le plus intensément sans statufier ce premier jet". Car si les oeuvres refusent de se plier aux lois connues de la physique, elles ne sont pas pour autant figées mais sont l'évocation perpétuelle d'un basculement. L'illusion de cet équilibre est minutieusement étudiée : "Le lien vient d'une articulation qui ne se voit pas, d'une soudure que je veux discrète et qui retient l'ensemble".
La force des créations d'Etienne Viard, qui questionnent notre sens de l'observation et nient notre empirisme, est de retarder indéfiniment l'instant de la chute.
"Ma sculpture s'élabore sur ces morceaux d'impatience que je cherche à sauvegarder le plus intensément sans statufier ce premier jet". Car si les oeuvres refusent de se plier aux lois connues de la physique, elles ne sont pas pour autant figées mais sont l'évocation perpétuelle d'un basculement. L'illusion de cet équilibre est minutieusement étudiée : "Le lien vient d'une articulation qui ne se voit pas, d'une soudure que je veux discrète et qui retient l'ensemble".
La force des créations d'Etienne Viard, qui questionnent notre sens de l'observation et nient notre empirisme, est de retarder indéfiniment l'instant de la chute.