Etienne Orsini
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- Nombre de pages3
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.097 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-35623-102-4
- EAN9782356231024
- Date de parution30/08/2021
- CollectionPoètes trop effacés
- ÉditeurNouvel Athanor (Le)
Résumé
Avec Etienne Orsini, le venin des certitudes (l'expression est de lui O ne peut faire de mal à personne ! La fierté corse est bien présente mais la moquerie de lui-même s'exprime pour illustrer une désillusion. Ainsi, se pencher sur son cas est une belle leçon : "Le bonheur est dans le pré! Mais il n'y a plus de pré" avoue dans un grincement le convive cynique qui sait, en toute pertinence, qu'il n'a plus même à se lever de table puisque sa vie se boit sans lui.
Orsini est fait comme un rat aurait dit de lui Jean-Paul Sartre. Il est prisonnier de ses propres contradictions, même verbales. Il réclame des restes de lumière et se refuse aux envolées romantiques de consolation. En cela, il est désabusé. J'aime particulièrement sa lucidité permanente devant le spectacle de soi-même confronté aux autres.
Orsini est fait comme un rat aurait dit de lui Jean-Paul Sartre. Il est prisonnier de ses propres contradictions, même verbales. Il réclame des restes de lumière et se refuse aux envolées romantiques de consolation. En cela, il est désabusé. J'aime particulièrement sa lucidité permanente devant le spectacle de soi-même confronté aux autres.
Avec Etienne Orsini, le venin des certitudes (l'expression est de lui O ne peut faire de mal à personne ! La fierté corse est bien présente mais la moquerie de lui-même s'exprime pour illustrer une désillusion. Ainsi, se pencher sur son cas est une belle leçon : "Le bonheur est dans le pré! Mais il n'y a plus de pré" avoue dans un grincement le convive cynique qui sait, en toute pertinence, qu'il n'a plus même à se lever de table puisque sa vie se boit sans lui.
Orsini est fait comme un rat aurait dit de lui Jean-Paul Sartre. Il est prisonnier de ses propres contradictions, même verbales. Il réclame des restes de lumière et se refuse aux envolées romantiques de consolation. En cela, il est désabusé. J'aime particulièrement sa lucidité permanente devant le spectacle de soi-même confronté aux autres.
Orsini est fait comme un rat aurait dit de lui Jean-Paul Sartre. Il est prisonnier de ses propres contradictions, même verbales. Il réclame des restes de lumière et se refuse aux envolées romantiques de consolation. En cela, il est désabusé. J'aime particulièrement sa lucidité permanente devant le spectacle de soi-même confronté aux autres.
