Etienne-François Dutour de Salvert (1711-1789). Un physicien auvergnat du XVIIIe siècle
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- Nombre de pages396
- PrésentationBroché
- Poids0.675 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-343-04109-4
- EAN9782343041094
- Date de parution01/07/2014
- CollectionHistoire des sciences
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierIrène Passeron
Résumé
Un correspondant de l'Académie des sciences a-t-il publié des mémoires dans chacun des six premiers volumes des Mémoires des Sçavans étrangers (1750-74) ? Existe-t-il un fonds d'archives publiques conservant plus d'une centaine de lettres inconnues de ou à destination de Buffon, Lavoisier, Lalande, Monge, D'Alembert, Hauy, Bézout, Guettard, et une correspondance suivie sur un demi-siècle avec les plus grands libraires-imprimeurs parisiens des Lumières ? Comment étudier des petits cahiers cousus d'écrits scientifiques, datés à l'heure près, avec les conditions atmosphériques, et surchargés de paperoles collées ou épinglées, de minutes de lettres et de réponses de savants prestigieux commentant ces expériences ? Un Auvergnat, qui doute des tourbillons cartésiens et renâcle devant les mystères de l'attraction newtonienne, peut-il se donner des consignes en anglais ? Si ces questions vous intéressent, faites la connaissance (à Bailleul, Avallon, Riom, Davayat, Salvert et Bellenave) d'Etienne Dutour de Salvert (1711-89), lauréat du prix sur l'aimant à l'Académie (1746), traducteur de Needham, de Jurin et de Symmer, minéralogiste à ses heures, adversaire des franklinistes en électricité, auteur d'expériences et de théories sur la vision, la réflexion, la réfraction, la diffraction, la capillarité, l'adhésion, la dissolution, la submersion, compatriote de Gilbert Romme et auteur d'une concordance entre les Evangiles.
Un correspondant de l'Académie des sciences a-t-il publié des mémoires dans chacun des six premiers volumes des Mémoires des Sçavans étrangers (1750-74) ? Existe-t-il un fonds d'archives publiques conservant plus d'une centaine de lettres inconnues de ou à destination de Buffon, Lavoisier, Lalande, Monge, D'Alembert, Hauy, Bézout, Guettard, et une correspondance suivie sur un demi-siècle avec les plus grands libraires-imprimeurs parisiens des Lumières ? Comment étudier des petits cahiers cousus d'écrits scientifiques, datés à l'heure près, avec les conditions atmosphériques, et surchargés de paperoles collées ou épinglées, de minutes de lettres et de réponses de savants prestigieux commentant ces expériences ? Un Auvergnat, qui doute des tourbillons cartésiens et renâcle devant les mystères de l'attraction newtonienne, peut-il se donner des consignes en anglais ? Si ces questions vous intéressent, faites la connaissance (à Bailleul, Avallon, Riom, Davayat, Salvert et Bellenave) d'Etienne Dutour de Salvert (1711-89), lauréat du prix sur l'aimant à l'Académie (1746), traducteur de Needham, de Jurin et de Symmer, minéralogiste à ses heures, adversaire des franklinistes en électricité, auteur d'expériences et de théories sur la vision, la réflexion, la réfraction, la diffraction, la capillarité, l'adhésion, la dissolution, la submersion, compatriote de Gilbert Romme et auteur d'une concordance entre les Evangiles.