Etienne Dinet. Regain de la peinture orientaliste
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Nombre de pages114
- PrésentationBroché
- Poids0.105 kg
- Dimensions10,0 cm × 19,0 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-914467-76-6
- EAN9782914467766
- Date de parution09/11/2011
- CollectionD'un espace, l'autre
- ÉditeurChèvre-feuille étoilée
Résumé
Immortalisant Bou-Saâda et une Algérie disparue, la palette chatoyante de Dinet (1861-1929) a séduit puis lassé : rejet, oubli qui ont remisé ses toiles, comme celles d'autres peintres orientalistes, dans les greniers et les réserves de nos musées d'Occident. Pourtant, ses oeuvres battent aujourd'hui les records des ventes aux enchères : musées et particuliers, spécialement du Moyen-Orient, lui assurent une cote jamais égalée.
Pourquoi ? Le destin du peintre converti à l'islam, reclus à Bou-Saâda où il est enterré auprès de son ami Sliman, "peintre officiel", ou presque, de l'Algérie indépendante, reste plus encore qu'hier un mystère. Dans un texte vif et savamment argumenté, Narra Rachdi, professeure à l'université Hassan II de Casablanca et spécialiste des rapports entre Orient et Occident dans l'art et la littérature, nous propose de résoudre cette belle énigme de l'histoire de la peinture orientaliste.
Pourquoi ? Le destin du peintre converti à l'islam, reclus à Bou-Saâda où il est enterré auprès de son ami Sliman, "peintre officiel", ou presque, de l'Algérie indépendante, reste plus encore qu'hier un mystère. Dans un texte vif et savamment argumenté, Narra Rachdi, professeure à l'université Hassan II de Casablanca et spécialiste des rapports entre Orient et Occident dans l'art et la littérature, nous propose de résoudre cette belle énigme de l'histoire de la peinture orientaliste.
Immortalisant Bou-Saâda et une Algérie disparue, la palette chatoyante de Dinet (1861-1929) a séduit puis lassé : rejet, oubli qui ont remisé ses toiles, comme celles d'autres peintres orientalistes, dans les greniers et les réserves de nos musées d'Occident. Pourtant, ses oeuvres battent aujourd'hui les records des ventes aux enchères : musées et particuliers, spécialement du Moyen-Orient, lui assurent une cote jamais égalée.
Pourquoi ? Le destin du peintre converti à l'islam, reclus à Bou-Saâda où il est enterré auprès de son ami Sliman, "peintre officiel", ou presque, de l'Algérie indépendante, reste plus encore qu'hier un mystère. Dans un texte vif et savamment argumenté, Narra Rachdi, professeure à l'université Hassan II de Casablanca et spécialiste des rapports entre Orient et Occident dans l'art et la littérature, nous propose de résoudre cette belle énigme de l'histoire de la peinture orientaliste.
Pourquoi ? Le destin du peintre converti à l'islam, reclus à Bou-Saâda où il est enterré auprès de son ami Sliman, "peintre officiel", ou presque, de l'Algérie indépendante, reste plus encore qu'hier un mystère. Dans un texte vif et savamment argumenté, Narra Rachdi, professeure à l'université Hassan II de Casablanca et spécialiste des rapports entre Orient et Occident dans l'art et la littérature, nous propose de résoudre cette belle énigme de l'histoire de la peinture orientaliste.