Jacques Quintin a déjà réalisé des contes pour enfants, Les Aventures de Benjamin. Il a été dépositaire du récit terrible de l'épopée de la Virée de Galerne depuis plus de trente ans. Son passage à l'écrit est le fruit d'une longue réflexion qui, au travers d'un roman basé sur des faits historiques, a permis de laisser libre cours à un imaginaire pas toujours éloigné de la réalité.
Ethique de l'accompagnement. Une approche existentielle
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- Nombre de pages171
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.208 kg
- Dimensions12,8 cm × 20,4 cm × 1,3 cm
- ISBN978-2-89578-732-7
- EAN9782895787327
- Date de parution06/05/2021
- ÉditeurLiber (Editions)
Résumé
La maladie, quelle qu'elle soit, touche à la condition humaine et aux images que l'on se fait de soi, des autres et de la vie. Elle suscite des questions qui trouvent peu de réponses et qui, par conséquent, n'ont pas de fin. Contrairement à ce que l'on pense, les personnes malades sont souvent très ouvertes aux interrogations existentielles. Ce sont souvent les soignants qui n'osent pas s'aventurer sur ce terrain par manque de confiance, se reposant sur les comités d'éthique.
Pourtant ce sont les patients et leurs proches qui réfléchissent, délibèrent et décident. L'être humain décide, dans de tels contextes de soins, de vie et de mort, selon ce qui a un sens pour lui. Dans ce cadre, le rôle du soignant n'est pas celui de l'expert en questions existentielles, mais celui d'un accompagnateur de ceux qui doivent penser par eux-mêmes selon leurs propres expériences, leurs intuitions, leurs doutes.
Il retrouve ainsi avec eux un dialogue que l'humanité ne cesse d'avoir avec elle-même.
Pourtant ce sont les patients et leurs proches qui réfléchissent, délibèrent et décident. L'être humain décide, dans de tels contextes de soins, de vie et de mort, selon ce qui a un sens pour lui. Dans ce cadre, le rôle du soignant n'est pas celui de l'expert en questions existentielles, mais celui d'un accompagnateur de ceux qui doivent penser par eux-mêmes selon leurs propres expériences, leurs intuitions, leurs doutes.
Il retrouve ainsi avec eux un dialogue que l'humanité ne cesse d'avoir avec elle-même.
La maladie, quelle qu'elle soit, touche à la condition humaine et aux images que l'on se fait de soi, des autres et de la vie. Elle suscite des questions qui trouvent peu de réponses et qui, par conséquent, n'ont pas de fin. Contrairement à ce que l'on pense, les personnes malades sont souvent très ouvertes aux interrogations existentielles. Ce sont souvent les soignants qui n'osent pas s'aventurer sur ce terrain par manque de confiance, se reposant sur les comités d'éthique.
Pourtant ce sont les patients et leurs proches qui réfléchissent, délibèrent et décident. L'être humain décide, dans de tels contextes de soins, de vie et de mort, selon ce qui a un sens pour lui. Dans ce cadre, le rôle du soignant n'est pas celui de l'expert en questions existentielles, mais celui d'un accompagnateur de ceux qui doivent penser par eux-mêmes selon leurs propres expériences, leurs intuitions, leurs doutes.
Il retrouve ainsi avec eux un dialogue que l'humanité ne cesse d'avoir avec elle-même.
Pourtant ce sont les patients et leurs proches qui réfléchissent, délibèrent et décident. L'être humain décide, dans de tels contextes de soins, de vie et de mort, selon ce qui a un sens pour lui. Dans ce cadre, le rôle du soignant n'est pas celui de l'expert en questions existentielles, mais celui d'un accompagnateur de ceux qui doivent penser par eux-mêmes selon leurs propres expériences, leurs intuitions, leurs doutes.
Il retrouve ainsi avec eux un dialogue que l'humanité ne cesse d'avoir avec elle-même.