États des Lieux
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- Nombre de pages64
- PrésentationBroché
- FormatJeunesse
- Poids0.632 kg
- Dimensions23,0 cm × 25,0 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-930115-49-8
- EAN9782930115498
- Date de parution01/01/2016
- ÉditeurARP2 PUBLISHING
Résumé
Le musée ne serait qu'une réserve d'objets hétéroclites s'il ne proposait pas de mettre ceux-ci en perspective. Tout comme la photographie ne serait qu'un enregistrement technique du monde si elle n'en proposait pas des lectures. Le déménagement du Musée de Louvain-La-Neuve dans le bâtiment libéré par la Bibliothèque des Sciences et Technologies a laissé apparaître cette illisibilité des oeuvres sorties de leur contexte.
Durant deux années, hors de leurs rayonnages ou de leurs vitrines, entre papier bulle et caisses en carton, les objets ont semblé prendre une autonomie vis-à-vis de l'histoire qu'on leur fait habituellement raconter. D'où l'idée de donner à voir par la photographie cette succession d'états des lieux comme autant de " ready made ". D'où l'idée de produire dans le temps de cette transhumance un musée de substitution à partir des seules perspectives de la photographie.
Le musée ne serait qu'une réserve d'objets hétéroclites s'il ne proposait pas de mettre ceux-ci en perspective. Tout comme la photographie ne serait qu'un enregistrement technique du monde si elle n'en proposait pas des lectures. Le déménagement du Musée de Louvain-La-Neuve dans le bâtiment libéré par la Bibliothèque des Sciences et Technologies a laissé apparaître cette illisibilité des oeuvres sorties de leur contexte.
Durant deux années, hors de leurs rayonnages ou de leurs vitrines, entre papier bulle et caisses en carton, les objets ont semblé prendre une autonomie vis-à-vis de l'histoire qu'on leur fait habituellement raconter. D'où l'idée de donner à voir par la photographie cette succession d'états des lieux comme autant de " ready made ". D'où l'idée de produire dans le temps de cette transhumance un musée de substitution à partir des seules perspectives de la photographie.
Durant deux années, hors de leurs rayonnages ou de leurs vitrines, entre papier bulle et caisses en carton, les objets ont semblé prendre une autonomie vis-à-vis de l'histoire qu'on leur fait habituellement raconter. D'où l'idée de donner à voir par la photographie cette succession d'états des lieux comme autant de " ready made ". D'où l'idée de produire dans le temps de cette transhumance un musée de substitution à partir des seules perspectives de la photographie.
Le musée ne serait qu'une réserve d'objets hétéroclites s'il ne proposait pas de mettre ceux-ci en perspective. Tout comme la photographie ne serait qu'un enregistrement technique du monde si elle n'en proposait pas des lectures. Le déménagement du Musée de Louvain-La-Neuve dans le bâtiment libéré par la Bibliothèque des Sciences et Technologies a laissé apparaître cette illisibilité des oeuvres sorties de leur contexte.
Durant deux années, hors de leurs rayonnages ou de leurs vitrines, entre papier bulle et caisses en carton, les objets ont semblé prendre une autonomie vis-à-vis de l'histoire qu'on leur fait habituellement raconter. D'où l'idée de donner à voir par la photographie cette succession d'états des lieux comme autant de " ready made ". D'où l'idée de produire dans le temps de cette transhumance un musée de substitution à partir des seules perspectives de la photographie.
Le musée ne serait qu'une réserve d'objets hétéroclites s'il ne proposait pas de mettre ceux-ci en perspective. Tout comme la photographie ne serait qu'un enregistrement technique du monde si elle n'en proposait pas des lectures. Le déménagement du Musée de Louvain-La-Neuve dans le bâtiment libéré par la Bibliothèque des Sciences et Technologies a laissé apparaître cette illisibilité des oeuvres sorties de leur contexte.
Durant deux années, hors de leurs rayonnages ou de leurs vitrines, entre papier bulle et caisses en carton, les objets ont semblé prendre une autonomie vis-à-vis de l'histoire qu'on leur fait habituellement raconter. D'où l'idée de donner à voir par la photographie cette succession d'états des lieux comme autant de " ready made ". D'où l'idée de produire dans le temps de cette transhumance un musée de substitution à partir des seules perspectives de la photographie.
Le musée ne serait qu'une réserve d'objets hétéroclites s'il ne proposait pas de mettre ceux-ci en perspective. Tout comme la photographie ne serait qu'un enregistrement technique du monde si elle n'en proposait pas des lectures. Le déménagement du Musée de Louvain-La-Neuve dans le bâtiment libéré par la Bibliothèque des Sciences et Technologies a laissé apparaître cette illisibilité des oeuvres sorties de leur contexte.
Durant deux années, hors de leurs rayonnages ou de leurs vitrines, entre papier bulle et caisses en carton, les objets ont semblé prendre une autonomie vis-à-vis de l'histoire qu'on leur fait habituellement raconter. D'où l'idée de donner à voir par la photographie cette succession d'états des lieux comme autant de " ready made ". D'où l'idée de produire dans le temps de cette transhumance un musée de substitution à partir des seules perspectives de la photographie.
Durant deux années, hors de leurs rayonnages ou de leurs vitrines, entre papier bulle et caisses en carton, les objets ont semblé prendre une autonomie vis-à-vis de l'histoire qu'on leur fait habituellement raconter. D'où l'idée de donner à voir par la photographie cette succession d'états des lieux comme autant de " ready made ". D'où l'idée de produire dans le temps de cette transhumance un musée de substitution à partir des seules perspectives de la photographie.
Le musée ne serait qu'une réserve d'objets hétéroclites s'il ne proposait pas de mettre ceux-ci en perspective. Tout comme la photographie ne serait qu'un enregistrement technique du monde si elle n'en proposait pas des lectures. Le déménagement du Musée de Louvain-La-Neuve dans le bâtiment libéré par la Bibliothèque des Sciences et Technologies a laissé apparaître cette illisibilité des oeuvres sorties de leur contexte.
Durant deux années, hors de leurs rayonnages ou de leurs vitrines, entre papier bulle et caisses en carton, les objets ont semblé prendre une autonomie vis-à-vis de l'histoire qu'on leur fait habituellement raconter. D'où l'idée de donner à voir par la photographie cette succession d'états des lieux comme autant de " ready made ". D'où l'idée de produire dans le temps de cette transhumance un musée de substitution à partir des seules perspectives de la photographie.