Et si on aimait enfin l'école !. Parents, élèves, enseignants, ministres...
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- Nombre de pages173
- PrésentationBroché
- Poids0.193 kg
- Dimensions13,0 cm × 20,0 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-36383-005-0
- EAN9782363830050
- Date de parution12/01/2012
- ÉditeurLes Petits Matins
Résumé
L’école primaire est aujourd’hui accusée de tous les maux. Elle formerait des générations d’analphabètes. Il serait temps de revenir à « l’école de papa », à l’époque où tout allait bien. Tel est le discours que nous tiennent nos ministres et notre Président depuis cinq ans. Il est temps d’arrêter d’accabler l’école injustement, de fantasmer sur une institution idéale qui n’a jamais existé, de lui adresser des injonctions paradoxales par souci de plaire à tous sans décider de rien.
Tout cela, nous expliquent les auteurs, ne fait pas avancer l’école primaire, alors qu’il y a beaucoup de choses à changer, notamment si l’on veut réellement réduire le noyau dur d’élèves qui se retrouvent en grande difficulté à l’entrée au collège. Y parvenir suppose de bien comprendre les problèmes, et de bien réfléchir à la méthode qui permettrait de s’y attaquer. Méthode qui n’est pas seulement une affaire de « technique », mais aussi une affaire politique.
Il faut rendre acceptable par le corps social dans son ensemble les réformes nécessaires : parents, élus et, bien entendu, professionnels de l’éducation.
Tout cela, nous expliquent les auteurs, ne fait pas avancer l’école primaire, alors qu’il y a beaucoup de choses à changer, notamment si l’on veut réellement réduire le noyau dur d’élèves qui se retrouvent en grande difficulté à l’entrée au collège. Y parvenir suppose de bien comprendre les problèmes, et de bien réfléchir à la méthode qui permettrait de s’y attaquer. Méthode qui n’est pas seulement une affaire de « technique », mais aussi une affaire politique.
Il faut rendre acceptable par le corps social dans son ensemble les réformes nécessaires : parents, élus et, bien entendu, professionnels de l’éducation.
L’école primaire est aujourd’hui accusée de tous les maux. Elle formerait des générations d’analphabètes. Il serait temps de revenir à « l’école de papa », à l’époque où tout allait bien. Tel est le discours que nous tiennent nos ministres et notre Président depuis cinq ans. Il est temps d’arrêter d’accabler l’école injustement, de fantasmer sur une institution idéale qui n’a jamais existé, de lui adresser des injonctions paradoxales par souci de plaire à tous sans décider de rien.
Tout cela, nous expliquent les auteurs, ne fait pas avancer l’école primaire, alors qu’il y a beaucoup de choses à changer, notamment si l’on veut réellement réduire le noyau dur d’élèves qui se retrouvent en grande difficulté à l’entrée au collège. Y parvenir suppose de bien comprendre les problèmes, et de bien réfléchir à la méthode qui permettrait de s’y attaquer. Méthode qui n’est pas seulement une affaire de « technique », mais aussi une affaire politique.
Il faut rendre acceptable par le corps social dans son ensemble les réformes nécessaires : parents, élus et, bien entendu, professionnels de l’éducation.
Tout cela, nous expliquent les auteurs, ne fait pas avancer l’école primaire, alors qu’il y a beaucoup de choses à changer, notamment si l’on veut réellement réduire le noyau dur d’élèves qui se retrouvent en grande difficulté à l’entrée au collège. Y parvenir suppose de bien comprendre les problèmes, et de bien réfléchir à la méthode qui permettrait de s’y attaquer. Méthode qui n’est pas seulement une affaire de « technique », mais aussi une affaire politique.
Il faut rendre acceptable par le corps social dans son ensemble les réformes nécessaires : parents, élus et, bien entendu, professionnels de l’éducation.