Et si la Côte d'Ivoire m'était contée par les éléphantidés. Devoir de rêve
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- Nombre de pages96
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.127 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 0,5 cm
- ISBN978-2-310-02530-0
- EAN9782310025300
- Date de parution05/07/2016
- ÉditeurAmalthée
Résumé
Durant une décennie, mon pays la Côte d'Ivoire a été défiguré par la bêtise humaine. Un pays où jadis la personne était au centre de la collectivité a laissé place à des cendres de notre identité. Plus jamais ça, belle Côte d'Ivoire. Cette expérience macabre doit nous stimuler, nous, éléphantidés, à pelleter avec sagesse et intellect, tout en jetant un regard sur notre cheminement pour trouver le sentier de notre propre devenir dans notre pays.
Ce n'est pas la Côte d'Ivoire qui appartient aux Ivoiriens, mais ce sont nous tous les Ivoiriens qui appartenons à la Côte d'Ivoire. Aujourd'hui, les éléphantidés admettent que la connaissance en soi se veut sacrée et ancrée par définition dans l'âme des affranchis et des désinfectés des complexes de l'ignorance. Ce savoir fait fleurir les comportements, aiguise la moralité des peuples, tout en tricotant la cohésion sociale qui habille une nation et la drape de prospérité avec authenticité.
Permettons, ne serait-ce qu'un tant soit peu, que la Côte d'Ivoire soit contée par ses éléphantidés.
Ce n'est pas la Côte d'Ivoire qui appartient aux Ivoiriens, mais ce sont nous tous les Ivoiriens qui appartenons à la Côte d'Ivoire. Aujourd'hui, les éléphantidés admettent que la connaissance en soi se veut sacrée et ancrée par définition dans l'âme des affranchis et des désinfectés des complexes de l'ignorance. Ce savoir fait fleurir les comportements, aiguise la moralité des peuples, tout en tricotant la cohésion sociale qui habille une nation et la drape de prospérité avec authenticité.
Permettons, ne serait-ce qu'un tant soit peu, que la Côte d'Ivoire soit contée par ses éléphantidés.
Durant une décennie, mon pays la Côte d'Ivoire a été défiguré par la bêtise humaine. Un pays où jadis la personne était au centre de la collectivité a laissé place à des cendres de notre identité. Plus jamais ça, belle Côte d'Ivoire. Cette expérience macabre doit nous stimuler, nous, éléphantidés, à pelleter avec sagesse et intellect, tout en jetant un regard sur notre cheminement pour trouver le sentier de notre propre devenir dans notre pays.
Ce n'est pas la Côte d'Ivoire qui appartient aux Ivoiriens, mais ce sont nous tous les Ivoiriens qui appartenons à la Côte d'Ivoire. Aujourd'hui, les éléphantidés admettent que la connaissance en soi se veut sacrée et ancrée par définition dans l'âme des affranchis et des désinfectés des complexes de l'ignorance. Ce savoir fait fleurir les comportements, aiguise la moralité des peuples, tout en tricotant la cohésion sociale qui habille une nation et la drape de prospérité avec authenticité.
Permettons, ne serait-ce qu'un tant soit peu, que la Côte d'Ivoire soit contée par ses éléphantidés.
Ce n'est pas la Côte d'Ivoire qui appartient aux Ivoiriens, mais ce sont nous tous les Ivoiriens qui appartenons à la Côte d'Ivoire. Aujourd'hui, les éléphantidés admettent que la connaissance en soi se veut sacrée et ancrée par définition dans l'âme des affranchis et des désinfectés des complexes de l'ignorance. Ce savoir fait fleurir les comportements, aiguise la moralité des peuples, tout en tricotant la cohésion sociale qui habille une nation et la drape de prospérité avec authenticité.
Permettons, ne serait-ce qu'un tant soit peu, que la Côte d'Ivoire soit contée par ses éléphantidés.